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pédéraste

  • Boniment qui mal y pense

    Miroir dis-moi que tu m’aimes même si tu mens !

    C’est évidemment le mensonge qui nous enchaine, fait de nous des esclaves, mensonge sur nous-mêmes, illusions rassurantes qui nous font nous prendre pour mieux ou pire que nous sommes. C’est pourquoi la recherche de la vérité est un acte libérateur. Le mensonge est au fond une chose qu’enfant nous rencontrons très tôt. Personnellement j’ai été confronté il y a longtemps à une enfant d’un an qui  m’a menti effrontément. Après m’avoir frappé plus ou moins involontairement puis voyant qu’elle m’avait fait mal, elle fit semblant, et ce d’une manière trop naïve pour me tromper, de s’être fait mal à la main. On en sourirait. On ment pour sauver sa peau, par instinct de conservation. C’est beaucoup plus tard qu’on peut être amené à comprendre que la peau ne vaut rien en dehors de la vérité. Un exemple me vient à l’instant à l’oreille. Ma Pénélope me raconte qu’un collègue lui a fait une confidence comme quoi elle serait sa motivation, que si il avait eu une femme comme elle, il aurait pu beaucoup. Moi : et alors tu lui as répondu quoi ? elle : que si il attendait après une femme pour pouvoir quoi que ce soit il en serait pour ses frais sa vie durant et pour l’éternité. Moi : c’est assez vrai quoique si c’est le pouvoir qu’il veut, il a pas tort ; mais s’il veut connaitre la vérité et avoir la force de l’affronter alors en effet il ferait bien d’arrêter de rêver. La puissance est du côté du mensonge, du rêve, elle est illusoire, puissance d’argent ou musculaire, politique ou sexuelle. La véritable force est dans la vérité. Il faut retourner le miroir ; ouvrir les yeux de ces femmes, enfants et hommes trop faibles pour résister à leur miroir existentiel. Ces femmes et ces pédérastes qui vont baillant après l’amour comme des carpes après l’eau sur le gazon comme dirait l’efféminé Flaubert, et qui, cherchant en vain à être adorés comme des petits dieux par leur copain/copine sur fond d’électriques synthétiseurs rocheux en guise de violons romantiques, quand ce ne sont pas des gueuloirs artificiels emplis de fausses paroles et de faux serments, sont des êtres aliénés à leur image tel ces narcisses de banlieue qui photographient chaque instant de leur misérable vie d’esclaves comme si l’illusion de pouvoir arrêter le temps était la limite de leur imagination.

    Je crois que plus on est intelligent moins on est patient. Je dis ça parce qu’il m’a fallu longtemps pour lever un peu du voile mensonger dont j’ai été recouvert dès mon plus jeune âge et que je fais preuve en conséquence d’une grande patience envers mon entourage. Face à la vérité l’intelligence n’est d’aucun secours, il y faut la volonté et surtout la patience, celles de retourner ou briser le fatal miroir. Si quelqu'un a des oreilles, qu'il entende! Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la patience et la foi des saints. Apocalypse 13-10.