Reconnaissons qu'on bouffe de tout et n'importe quoi, et qu'on montre plus de vigilance sur le point de la gastronomie ou la façon de se faire enculer que dans les questions spirituelles : on croit ainsi obtenir naïvement un délai. Ce faisant on ne fait que vivre à crédit, et cette vie-là est comme une mort. La seule puissance que le diable accorde à ses sujets, c'est d'anticiper leur mort.