La fable des Sirènes grecques* convient fort bien aux pernicieux attraits de la volupté, mais, dans l'application qu'on en a faite jusqu'ici, et qui est assez juste quant au fond, on a saisi que ce qui se présentait à première vue. Cette sagesse des Anciens peut être comparée à des raisins mal foulés, et dont on a exprimé quelques sucs en y laissant ce qu'il y avait de meilleur.
Les sirènes étaient les filles d'Achéloos, le fleuve et de Terpsichore, une des neuf muses. (...)