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Mouche à Mierde

Merkel et Sarkozy, une union "naturelle", titre la gazette Europe n°1. Le métèque Sarkozy, président plus pour longtemps des Français, va chercher du soutien chez les boches pour tenter de se faire réélire ; toute honte bue ! Dans une gazette suisse on comparait les deux pays d’un point de vue économique et franchement c’est blanc bonnet et bonnet blanc. Pas étonnant que ces deux pays se foutent sur la gueule depuis si longtemps. Notez qu’on pourrait bien envoyer tous les boches en Japonie et mettre des Grecs à leur place, en rien de temps on aurait de nouveau un peuple naïf et belliqueux ni plus ni moins. C’est une question de chimie, pas un hasard si les boches sont les meilleurs dans ce domaine. Quant à Hollande il faudra pas longtemps avant de s’apercevoir que c’est une baudruche gonflée aux formules magique, la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf. On pourrait tout aussi bien tirer la présidence au hasard comme le suggère une blogueuse, ça ne changerait rien à la donne. Si ce n’est que le populo comprendrait peut-être qu’on se fout de sa gueule depuis le début. Combien de fois faudra-t-il lui répéter qu’il n’y a pas de lendemains qui chantent, sauf dans les couloirs de l’industrie du disque, avant qu’il ne se décide à refuser de mettre un bulletin anonyme dans une l’urne funéraire de ses rêves républicains. Reste que l’anarchie n’est pas une doctrine politique, ce serait un contre-sens, une monstruosité. L’anarchiste a autre chose à foutre que de la politique. Son œil d’aigle le voue à la science ou à l’art, science matérialiste évidement, et art contre nature, ça va de soi. L’art abstrait est aussi une monstruosité. Rien de plus naturel que l’abstraction. Contrairement à une idée très répandue dans l’éducation nationale, les mathématiques ou le latin ne rendent pas plus intelligent, bien au contraire. Ils conduisent à l’opiniâtreté, maladie des plus commune dans cette institution. Ce qui est complètement abstrait et très naturel c’est la conception de la vérité sous une forme relative. Les yeux de mouche du citoyen ne voient que la vérité qui l’arrange, comme c’est romantique…et tellement naturel. L’anarchiste est quand même plus exigeant. Et le peu qui viendra de ce dernier à ce premier, c’est sa fiente. La mouche républicaine peu bien se nourrir du cadavre de l’aigle anarchiste fourvoyé en politique, quand il plane au-dessus de la mêlée et qu’il se mêle de ce qui le regarde, alors les mouches du coche se pavanent, mais c’est sur la pourriture qu’elles s’emploient, et ça va finir par se sentir.

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