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jung

  • N'est-ce pas que


    les gens sont marrants, ils s'imaginent parce qu'ils ne croient plus au père Noël que celui-ci va cesser d'exister ? Voilà qui n'est pas très raisonnable. Idem pour le diable. Mais là les conséquences sont un peu plus grave. Depuis que le compère Lapin a montré qu'il s'était réfugié au sein même de l'Eglise, il s'agit de sortir la tête du sable pour bien des catholiques. Pour les autres, ils font ce qu'ils peuvent pour tenter de l'oublier, c'est de bonne guerre. Mais qu'ils viennent pas dire que ça les rend moins coupable.

    Ce crétin de Jung en bon protestant avait le mot destin toujours près de l'anus, ce qui avait le don d'énerver Freud. Pouvait pas s'entendre les deux. Faut se les imaginer, le juif et le protestant, à se battre pour qui sera l'inventeur du hochet de la nouvelle humanité. D'un côté on va faire ça collectif, Jung, de l'autre on verra à rendre ça plus individuel, Freud,  mais leur grande affaire à tous les deux c'est l'inconscient. En voilà un père Noël tout indiqué pour les hommes nouveaux. J'emploie à dessein cette idée de Nitche, car le troisième larron teuton fait partie de l'embrouille. Trois boches : un chrétien, un juif, un protestant, trois façons de dire merde à Dieu.


    Pour se venger, Dieu créa Lacan.