Je crois que de nos jours un homme capable de vivre avec une femme ne peut pas être autre chose qu'une loque. Je crois même que bien des femmes en conviendraient, pour peu qu'elles soient honnêtes cinq minutes. Une femme honnête est aussi difficile à trouver qu'un homme, me direz-vous. Bien d'accord. On peut toujours citer les femmes de quelques grands esprits comme fait mon pote (je le soupçonne d'avoir trouvé une femme honnête) mais ces femmes avaient-elles tant de mérite à partager le sort des ces hommes d'exception ? J'admire beaucoup plus une Simone Weil dont les interrogations sont celles d'un homme.
Ce que je ne comprends pas c'est la revendication des femmes qui veulent être indépendantes et avoir des enfants. De quoi elles se plaignent ? C'est jouable à condition de partager le pouvoir. Comme elles ne peuvent pas se priver du pouvoir sur les enfants, dès qu'elles le peuvent, elles cumulent avec le pouvoir financier, pour elles exécutif. C'est mal. Ça conduit à l'abus de pouvoir, à la dictature, à la tyrannie, au fascisme. Les hommes, il leur reste la vodka pour se consoler. Par ici la sortie ! Ce qui finit de les achever, les gaziers, c'est qu'ils se font traiter eux-mêmes de tyran. L'ombre de Robespierre plane sur l'esprit des citoyennes. Par un retour de bâton logique ces hommes en viennent à avoir plus de fibre maternelle que leur femme. C'est dégoûtant !
Quant aux enfants ils sont à bonne école pour devenir les petites fiottes autoritaires qui feront l'humanité de demain. Ça risque d'être long jusqu'en 2012. Après ce sera intenable, inévitablement.
Who lets so fair a house fall to decay,
Which husbandry in honour might uphold,
Against the stormy gusts of winter's day
And barren rage of death's eternal cold?
O! none but unthrifts. Dear my love, you know,
You had a father: let your son say so.
Shakespeare sonnet 13