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Iolives volutes et pompe idolienne



Pompidou du 27/05/09 - 24/05/10
Pour la première fois dans le monde, un musée présente ses collections au féminin. Cette nouvelle présentation des collections du Centre Pompidou est entièrement consacrée aux artistes-femmes du XXème siècle à nos jours.


Ça vient du site d'une femme qui se prend en photo à poils, une artiste, très sériozna.

Du XXème siècle à nos jours, on a envie de rire. Et ça pourrait faire très peur aussi. Qu'il y ait des femmes qui se piquent d'être artistes, je veux bien, sans trait d'union, c'est déjà mieux, mais des collections! C'est tailler un costard Chanel à l'art. Collection au féminin ça fait collectionne et ça rime avec pauvre conne. Et ne bondissez pas au crédo, ce n'est pas tant de la femme qu'il est question que du diable qui la séduit.


Dire qu'il lutte contre le principe du bien, qui lui ne s'intéresse qu'à la vérité, c'est une évidence. Mais pas là où la femme le croit. Il la tente et elle n'a pas la force de la foi pour lui résister, elle se regarde dans le miroir que Dieu lui tend et elle s'y trouve plutôt réussie. Elle ne voit pas la question que lui pose le miroir. Si la religion a si peu de succès auprès des femmes modernes, c'est qu'elle en a trop. Croire dans la réalité du monde aujourd'hui c'est regarder dans une boule de cristal. Voilà ce que fait le monde bouffé par le principe féminin, par le diable tentateur et si rusé qu'elle ne le sent presque plus en elle, la femme. La femme, la politique, le diable, s'est arrogée de droit de faire notre bonheur sur la terre. Quelle rigolade !


Combien de division chez les éveillés, demande Medusa. (une artiste dans son genre)

Ça c'est de la question! qui appelle! un peu sous un drapeau, toutefois...
je dirais spontanément un nombre incalculable, pas un nombre d'homme.
Ou encore Dieu seul le sait. Une division ? pourquoi pas une simple opération du sait-esprit : l'addition. Un plus un, deux, deux plus un trois, trois plus quatre sept. Plus qu'à rajouter des zéros, et l'armée des justes sera complète.


Le genre de question qui me fait réfléchir, voilà un miroir qu'il m'est tendu. Par qui ? une Gorgone ! je le vois partout ce miroir, et il est toujours, hiquénounke. D'ailleurs Marx aussi s'en sert de ce miroir, quand il inverse certaines propositions. Et sans conteste le peintre est mieux placé pour le voir et le montrer que le musicien ou le littérateur, le poète encore moins, sans ça... j'écrirais des vers.

Mais le ouèbe croule sous les vers plus ou moins libres de la folie aveugle et féminine.

Quant à la pompe idolienne, cette vieille baderne obsédée, il doit trouver ça à son goût les collections d'artistes-femmes. Encore une petite brochette de vagins savants, avant de se retourner sur le grill ?


Commentaires

  • Erreur, Fodio, c'est précisément le nombre d'homme qui est incalculable. Souviens-toi du gratte-ciel de Babylone. D'ailleurs Descartes ne parvient même pas à définir l'infini.
    Promène-toi donc dans la galerie des glaces du palais du Roi Soleil, brillant hommage des arts décoratifs à Lucifer, sûr que t'y croisera l'infini, Jekyll et Hyde, Frankenstein, l'Origine du monde et toute la panoplie de la mise en abîme (Velasquez n'est qu'un de ces chiens baroques virtuoses.)

  • et Goya?

    c'est ce que je dis Lapin.. un nombre incalculable de divisions et d'hommes donc...tu veux dire le nombre d'endormis? oui je me suis mal exprimé, trop vite. J'aurais du dire que le nombre d'éveillés, comme dit la méduse, est connu et que c'est le reste qui est incalculable. Mais j'ai fait mon malin, je l'ai dit à l'envers en espérant qu'une endormie me pose la question, peut-être...
    je regrette pas finalement.

    tous ces peintres qui m'ont échappé, rassure-moi il est pas trop tard?... je suis pas inquiet mais mon ignorance est un tel frein désordonnant...

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