(scholie* de la sodomie)
Tous les mecs qui ont eu des couilles dans l'histoire se sont rarement encombrés d'une meuf. Ce qu'un Muray n'a pas saisi, c'est le côté incestueux intrinsèque du chrétien qui l'éloigne d'abord de sa mère et ensuite de la femme, s'il en a la vertu, la force de la pitié. Du moins l'a-t-il compris à l'envers (sa conclusion qu'il y a un désir de levée de l'inceste dans la sacralisation de l'enfant alors que tout au rebours il y a liquidation incestueuse (inceste tueuse) la ruse consiste justement à faire croire qu'il y aurait une bataille à mener alors que ce n'est qu'un stratagème de plus pour nous faire avaler le mensonge freudien) C'est un fait historique, nous sommes le fruit ontologique de l'inceste. D'ailleurs Cain tue Abel, il l'encule PAS, ce serait revenu au même. D'ailleurs l'enculage est synonyme de mort dans la haute antiquité. Je déconne ? oui peut-être. Mais en attendant le trou du cul, c'est une sombre affaire.
Il est assez clair que ça ne mène nulle part (ce qu'on n'est pas tenté de croire de prime abord quand on lit les blogueuses en folie genre Sindirella qui semblent prendre un goût flaubertien, ou bachelardien ce qui est pire, à s'y précipiter, vers ce nulle part. Dieu leur pardonne sans doute leurs lubriques bavardages, mais Il les punit toujours de leurs anamours transitoires, d'une façon ou d'une autre. En les condamnant au rêve, par exemple).
Ça ne mène les hommes et les femmes qui s'y adonnent que là où ils désirent aller le plus vite possible, à savoir : la mort ! l'amour qu'ils croient voir dans les séries américaines qui n'est que l'amour de la morale yanki et hypocrite, celle de l'argent, d'où la pornographie pour financer tout ça, hé, ça coûte la propagande, même quand on l'appelle industrie, là que les coquins se servent de larges parts et n'en laisser que des miettes aphrodisiaques, de l'ersatz d'Eros, du thanatos. Ce serait une erreur de croire, sur la foi de leur peur de vieillir, que les victimes mondiales de la propagande misthico-religieuse yanki ne désirent pas mourir. C'est justement pour ne pas vieillir ou pour se venger d'avoir à vieillir qu'elles se jettent pour disparaitre. Qu'on leur dise qu'elles y précipitent avec eux les trois quarts de l'humanité, ce qui est autre chose que quelques milliers de mort par-ci par-là -6-ponctuellement célébrés en osmose complète avec l'actualité médiatico-politico-merdrique des marchands d'armes -6- qu'elles cautionnent la loi naturelle instaurée en droit par le totalitarisme capitaliste par ignorance de l'ignorer, elles ne voudront PAS, s'étant mises en position de le pouvoir jamais, l'entendre.
Et que je t'avoue très hypocritement (sans aucun engagement profond autre que celui factice des mots pour le dire, mots eux-mêmes rendus sacrés par un décret plus stupide et faible en esprit qu'hypocrite) confiteor mon ignorance d'une pirouette ou d'un revers de la main et de se dégager de toute responsabilité (responsable mais pas coupable !) sous le prétexte d'une faiblesse naturelle et au prix d'une contradiction inique (même ignorée! Les conséquences de ces contradictions se moquent de l'intention)
Les femmes d'aujourd'hui sont culottés, hélas pour les imparfaites car le pantalon sur une femme ça pardonne pas plus que l'ironie dans la bouche d'un saint. Une vraie femme capable de marcher en pantalon est une femme toujours en jupe, pour autant que j'aie eu à en juger, par déduction inverse puisque je n'ai eu à rencontrer que des obstinées du falzar.
Ce sont les hommes élevés sous leur mère qui sacralisent la sodomie et ça arrange les femmes qui sacralisent très naturellement le sexe, ainsi ont-ils tous les deux, pour des raisons différentes, voire opposées, un intérêt certain à s'y appliquer. L'illusion, pour lui, d'aimer jusqu'au plus profond une âme de femme en passant par le plus repoussant de son entrée, sa partie la moins noble (et la moins dangereuse, génétiquement), et, pour elle, l'illusion d'avoir sacrifié son amour propre, souillée son âme par amour, de la vie précisera-t-elle. Mais la sodomie n'est qu'une coquetterie pour les femmes. Rares sont celles assez intelligentes pour en comprendre le sens profond. Quoi qu'il en soit, l'illusion est la même qui conduit à la famille nécessairement puisque comme disait un pédé célèbre de mon entourage, le coup de chapeau, c'est un coup dans le chat/ un coup dans le pot ! Et bingo... D'ailleurs les pédés adorent la famille, voir comment grave qu'ils souhaitent désespérément adopter ...
La famille ça reste une affaire de gonzesse et c'est franchement PAS le plus important si on considère la grande famille des hommes, non ? (d'ailleurs plus si grande que ça une fois ôtés les trois quart de l'humanité comme il est prévu dans l'Apoc de Jean.)
Pour l'instant les morts se comptent en quelques centaines de millions grand max mais quand on va passer à plusieurs milliard ça va être une autre paire de manches, les filles ! Faudra compter avec les chacals restants forcément. Et plus tant de femelles, ça va sans dire. A plus de la moitié de morts, on change de camps. On se met à compter ceux qui restent au lieu des morts, voyez ce que je veux dire. Les quelques coquins qui se vautrent aujourd'hui dans le ventre de la bête sont si repus qu'ils ne voient pas la prolifération et le combat acharné auquel se livrent les nouveaux démons qu'ils engendrent spontanément. C'est l'horrible réalité de la prophétie que toute personne un peu sensée ne peut manquer de redouter. Nous sommes arrivés à un point très précis de cette prophétie. Les bêtes s'affrontent entre elles, le même encule le même, le trou est comblé, la faille disparait : c'est l'humanité qui ressuscite et le nombre d'élus est connu : 144 000 très exactement.
Libre à vous de vous croire plus malin qu'Aristote, Shakespeare et Marx. Moi, je le jouerais facile à 144 000 contre un seul ! ce tiercé. Je plaisante bien entendu, un chrétien ne saurait faire ce genre de pari.
Ça doit être ma façon de scholier pour les femmes et les pédés de mon entourage.
Cherchez la femme ou trouver le lemme !
L'Apocalypse ou la mort !
*Les scholies des textes antiques sont une source précieuse d'information, à la fois philologique et historique. Elles peuvent être marginales (écrites dans la marge) ou interlinéaires (insérées dans le texte même). Généralement, la note commence par reprendre le mot ou le passage commenté (appelé le « lemme »), puis fait apparaître les commentaires du scholiaste.
Commentaires
Vous écrivez pour vous-mêmes, les commentateurs ou les lecteurs ?
En admettant que ce soit une vraie question, je vous réponds bien volontiers Stéphane: mais en quoi est-ce que ça vous intéresse? J'ai du mal à comprendre le cadre même de votre question. Je commente moi-même le texte du lemme (voir le lien) donc je commente,c'est tout. Je n'écris que parce que je n'ai pas d'autre ressource. Si vous aviez été en face de moi je vous aurais plus volontiers parlé.
Maintenant, à mon tour, pourquoi y a-t-il d'autres livres que les saintes Ecritures, en voilà une bonne question, non?
Ceux qui écrivent clairement ont des lecteurs ; ceux qui écrivent obscurément ont des commentateurs.
Albert Camus
J'ai déterré votre blog pas plus tard qu'hier.
Force est de constater, que qualité littéraire se trouve. Cerise sur le gâteau: la pertinence en prime...
A bientôt
La remarque de Stéphane est juste ; je la prends pour moi aussi. C'est arrivé rarement, mais c'est arrivé qu'un commentateur m'aide à mieux comprendre quelque chose qui m'échappait.
Quant à Camus en revanche, il a pire que des commentateurs : des adorateurs qui veulent le faire entrer au mausolée ; autant dire qu'il pue la momie. C'est pas demain la veille que la haute fonction publique qui porte la cravate en signe de suicide prochain, décidera de flanquer Céline au Panthéon.
Je rêvais Monsieur, je partais avec les esprits, de vos ancètres, ça apaisait mon coeur malade : qu'allons nous devenir sans le rêve !!! On est PLUS en état d'accepter APRES
Liliane Boyrie