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L'homme invisible

 


les gens qui entament avec moi une discussion sur le ton de l'affrontement me fatiguent d'entrée. S'affronter, chercher de suite le rapport de force, se jauger l'un l'autre... quel intérêt ?


c'est, semble-t-il, un homme qui dit une chose pareille. C'est peu dire que les hommes n'en sont plus et qu'ils sont « fatigués » de l'être. Plus ils réagissent en gonzesse plus ils se croient malins. Et il faut bien dire que c'est très malin en effet, au sens satanique évidement. Comment voulez-vous que ce genre d'homme soit capable d'autre chose que de bouffer de la chatte ? dire que c'est le même type de pédé qui règne sur le monde depuis plus de deux mille ans. (Avant ils avaient l'excuse de ne pas savoir)


Tout ce que je pourrais dire ne saurait exprimer réellement l'empreinte que cette lecture me laisse ce soir.

Ça, en revanche c'est une vraie parole (empreintée) de gonzesse.


Entre lune et origine du monde, les envolées coquines d'un rêveur friand de jeux de mots... et de langue...

Et une parole d'homme, le même genre que le précédent  mais à un stade plus avancé de lesbiennerie. (et d'ailleurs qui sait si ce n'est pas une femme qui se déguise en homme, les lesbiennes comme les pédés sont très friands de ce genre de perversité, mais peu importe me direz-vous peut-être !)


il faut avoir l'humilité que personne n'est un être binaire.

Parole de femme, d'ailleurs complètement imbitable !


Celui qui profère à tout bout de champ des vérités sur l'autre devrait, avant toute chose, se regarder dans le miroir et s'y voir.

Parole de femme qui se voudrait homme et qui ne veut pas retourner le miroir. Mise en abime inévitablement stérile. (un homme ne peut pas dire une chose pareille sans honte, car il est évident que dire ceci sans se l'appliquer à soi-même tient de la plus haute hypocrisie) On a envie de lui répondre : charité bien ordonnée...


Ce n'est pas la femme qui est visée dans mes propos mais le principe féminin. Je ne dis pas ça pour tenter d'apprivoiser le ressentiment de la gente féminine qui me colle au cul depuis que j'écris dans ce blogue.

Quand j'entends des femmes qui parlent des hommes, j'essaie honnêtement de déceler la vérité, que cette vérité me concerne ou pas. Or je n'en ai pas trouvé pas la moindre trace jusqu'à présent.

Je ne suis pas tombé du ciel. Je viens d'une époque où il y a du mérite à être un homme. C'est-à-dire tout le contraire d'un obsédé sexuel efféminé. Non pas que le sexe soit intrinsèquement bon ou mauvais, c'est surtout une perte de temps, et le temps perdu ne se rattrape pas.

La plupart des hommes depuis toujours se sont laissé guidé par leur bite. On a vu où ça menait. De la transformation de quelques millilitres de sperme en fleuve de sang.

Ce qu'une femme ou un homme féminisé ne peut pas comprendre c'est l'essence politique de la sexualité. Le tout sexuel de Freud est un tout politique tout aussi gerbant. Ce serait par exemple une vérité de dire que les hommes politiques nous baisent depuis toujours.

En conséquence, tout homme qui se respecte se doit de dénoncer le sexe et la politique comme étant une seule et même chose, dont il est urgent de se débarrasser toutes affaires cessantes.

Se débarrasser du sexe est bien entendu ridicule, j'entends juste ne pas en faire le principal centre d'intérêt de la vie. Ça lui redonnerait même un peu d'attrait. L'homme qui professe ce genre de chose aujourd'hui est totalement invisible. A croire que le sperme a fini par voilé tout sens critique dans le cerveau humain.


Les propos que je cite ici sont authentiques et il est probable que ça va se plaindre à sa maman. La plate forme qui héberge ce blog me le fera savoir et je ferai disparaitre cette note.

Le seul reliquat de liberté qu'a laissé la politique est de raconter ses exploits sexuels ou ses non-exploits, pour le reste, toute critique de ces attitudes demeure impossible. Qui a parlé du voile islamique ? le voile d'impudeur dont se servent les femelles laïques de droite comme de gauche pour dissimuler qu'elles nous baisent est invisible et pourtant dès qu'on le frôle il apparait plus sensible qu'un clitoris.

Le principe féminin est cruel parce qu'il est sentimental. C'est d'ailleurs parfaitement réversible, comme toute morale. c'est parce qu'il est sentimental qu'il doit être cruel;


Moi je dis que c'est parce qu'il est bon et mauvais qu'il est mauvais. Comprenne qui peut.


Il n'y a pas de morale qui tienne, il y a le mal à combattre qui n'est pas la vérité. C'est un long combat de toute une vie dont on ne sait qu'au dernier moment si on l'a gagné. Pas un défi de pédé autrement dit.  Pour les autres il leur sera pardonné d'avoir été aveugles et sourds, puisqu'ils l'auront payé de l'enfer sur la terre et seront sans doute tout-à-fait heureux de mourir.


Dieu ou César, la pitié ou l'argent, l'éternité ou la politique, l'Apocalypse ou la mort, celui qui n'est pas avec moi est contre moi et je vomirai les tièdes. Ça se défend, comme dit l'autre.

Si on peut défendre les paroles d'un homme aussi invisible que Jésus, il reste alors beaucoup d'espoir, et ça vaut bien la charité concédée par l'esprit de sacrifice que me coûte cette putain de gymnastique littéraire.





 

Commentaires

  • Un homme... INVISIBLE que Jésus... Bien dit.

  • J'ai été femme des centaines de fois: dans ma vie, en dé-thérapie de groupe, et dans nos dé-centres. La plupart du temps avec un plaisir sans mélange. La seule fois où cela ne m'a pas plu d'en être une, c'est qu'on m'avait pris pour un homme. Ainsi mon expérience avec l'ex-demi de mêlée (il était en réalité chauffeur de camion-routier pour les glaces Good Humor) n'avait pas été très encourageante au départ parce qu'il avait envie que je fasse l'homme, et moi j'avais cru que l'homme, c'était lui. Se tromper de rôle n'arrange jamais rien.
    Je me suis aperçu qu'il était plus difficile d'être physiquement femme, que socialement et psychologiquement. Sexuellement, ça a été une grande déception. C'est tout simplement que je n'ai pas ce qu'il faut pour me faire foutre. Il est bien plus agréable, au lit, de jouer un rôle "féminin" passif avec une femme agressive, "masculine" qu'avec un vrai homme. Le va-et-vient d'un pénis dans l'anus, c'est, pour appeler un chat un chat, une douleur dans le cul. La sensation d'une bonne bite bien chaude vous roulant dans la bouche est sans doute une expérience que tout le monde devrait faire, mais, pour moi, elle n'est qu'un plaisir sexuel de deuxième zone. Il est assez flatteur d'avoir du sperme chaud vous jaillissant dans la bouche si l'on a le moindre orgueil du travail bien fait, mais c'est dans le meilleur des cas un plaisir plus psychologique que physique. Avaler par le nez de la soupe chaude trop salée n'est pas exactement l'idée que je me fais de la parfaite béatitude des sens, mais je suis prêt à reconnaître mes limites.
    Ce qui peut attirer dans le fait d'être femme, du moins pour moi, c'est la nouveauté de l'expérience, et la passivité, la passivité masochiste, irai-je même jusqu'à dire. Le désir d'être dominé par une créature supérieure - homme ou Dé - révèle quelque chose de fondamental. Ca n'a jamais été l'essentiel de ma nature que de répondre passivement et respectueusement aux hommes, mais en me commandant parfois de jouer un rôle féminin, le Dé m'a permis de dénicher ce qu'il y avait en moi d'esclave latent.
    Et pour tout homme de notre société, il est certainement essentiel de pouvoir être une femme. Et vice versa pour les femmes. L'être humain est fait pour imiter; tout mâle a enregistré au cours de sa vie des milliers de gestes, d'expressions verbales, d'attitudes et d'actes féminins qui aspirent à s'exprimer mais qui restent enterrés au nom de la virilité. C'est là une perte tragique. S'il est un apport marquant entre tous de nos dé-centre, c'est peut-être de créer un milieu qui invite tous les rôles à s'exprimer; qui invite à la bisexualité. on pourrait même dire à nue sexualité complète, si l'honnêteté figurait au nombre de nos vertus.
    J'ai donc été femme à des centaines d'occasions, et je recommande à tout Américain bien portant ayant du sang dans les veines d'en faire autant.

  • Les règles sociales sont inspirées de la physiologie féminine. D'où le bain de sang chronique indispensable à la politique pour se régénérer. Il n'est presque pas un de ces crétins de politiciens qui n'ait souhaité la dernière guerre. Les plus insouciants pédés en tête.

    Instinctivement la femme est portée à croire que le capitalisme est un système raisonnable, ainsi que bien sûr les innombrables pédérastes éduqués par leur mère à croire que l'origine du monde est une matrice. La matrice produit de la chair à canon.

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