Ambiance village sur l'internet des blogs pour mézigue. Sans me vanter j'ai plutôt mauvaise réputation. Ha, si certaines pouvaient m'attraper par les couilles, comme dans du Zola ! En attendant, typique de l'hypo-crise d'hystérie, me taxer de misanthrope, sachant que je suis ouvertement misogyne. J'ai l'heur de bien connaitre le trou pourri où se trouvent ces trucs tordus que les gonzesses et leurs pédés vont chercher pour me salir la réputation. Me faire passer pour un misanthrope, c'est se payer sur ma bête le luxe de se faire passer, ces branquignoles, pour des hommes. Sous prétexte que je creuse, me prennent pour un blaireau, les cunnilinguistes !
Commentaires
Ce que tu ne souhaites pas pour toi, ne l'étends pas aux autres.
"En aimant ton ennemi, tu souhaites qu’il te soit un frère. Ce n’est pas ce qu’il est que tu aimes en lui, mais ce que tu veux qu’il soit. Imaginons du bois de chêne non taillé. Un artisan habile voit ce bois, coupé dans la forêt ; ce bois lui plaît ; je ne sais pas ce qu'il veut en faire, mais ce n'est pas pour qu'il demeure comme il est que l’artiste aime ce bois. Son art lui fait voir ce que ce bois peut devenir ; son amour ne va pas au bois brut, il aime ce qu'il en fera, non le bois brut.
C'est ainsi que Dieu nous a aimés quand nous étions pécheurs. Il dit en effet : « Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin du médecin mais les malades ». Nous a-t-il aimés pécheurs pour que nous demeurions pécheurs ? L'Artisan nous a vus comme un bois brut venant de la forêt, et ce qu'il avait en vue, c'est l’oeuvre qu'il tirerait de là, non le bois ou la forêt.
Toi de même : tu vois ton ennemi s'opposer à toi, t'accabler de paroles mordantes, se rendre rude par ses affronts, te poursuivre de sa haine. Mais tu es attentif au fait qu'il est un homme. Tu vois tout ce que cet homme a fait contre toi, et tu vois en lui qu'il a été fait par Dieu. Ce qu'il est en tant qu'homme, c’est l’oeuvre de Dieu ; la haine qu'il te porte, c'est son oeuvre à lui. Et que dis-tu en toi-même ? « Seigneur, sois bienveillant pour lui, remets-lui ses péchés, inspire-lui ta crainte, change-le. » Tu n'aimes pas en cet homme ce qu'il est, mais ce que tu veux qu'il soit. Donc, quand tu aimes ton ennemi, tu aimes un frère."
Celui qui provoque des différends risque la querelle. Autrement, quand on provoque de petits troubles, on en récolte de plus importants. Ce proverbe signifie également que quand on provoque le désordre, il ne faut pas s’étonner des conséquences.
Saint Augustin, ce FOUTU Romain avec sa psyché et son obsession sexuelle, comme dit le Lapin.
Dans cette ridicule 'affaire' un trou du cul, qui se reconnaitra, s'est fait passé pour moi. Pour ma part, j'ai cité des propos mais sans mettre de liens, ce qui fait que ces propos sont restés anonymes aux visiteurs 'étrangers' de ce blog.
Il n'en a pas été de même des personnes concernées puisque j'ai été 'lié' avec force ressentiments, au point qu'un pédé laïc me poursuivant de sa haine stupide a semé la discorde en empruntant mon url. La confusion qui a suivi n'est donc pas de mon fait, mais ça m'a quand même bien fait marré.
J'en profite pour dire au philologue Usclade, cet idolâtre du langage, qui a eu lui au moins le courage de tenter une approche, même maladroite, que je ne tiens pas un salon pour pédés existentialistes. Je comprends votre frustration, c'est le lot des païens, dont les spéculations existentialistes, 'dois-je tromper ma femme quand je bande?' finissent toujours par éclater en bulle de mélancolie, pour autant je suis impuissant à 'soigner' ce genre de frustration. (j'emploie le terme 'impuissant' à dessein)
Juste pour préciser que je préfère le terme de cunilinguiste, très drôle, à celui de philologue qui à mon endroit me semble usurpé.
Sinon j'ai bien entendu votre message, aussi je vous laisse dans votre salon en compagnie des votres, non sans toutefois souscrire aux règles de bienséance qui semblent régir les lieux et qui si j'ai bien compris consiste en un témoignage de commisération envers les castes inférieures et impures.
Veuillez donc par ces quelques mots voir mon entière compassion avec votre frustration d'avoir été largué dans ce bas-monde par Dieu le Père, avec un paquet si gênant entre les jambes et de surcroit en nous faisant sortir des entrailles d'une femelle.
Heureusement que dans sa grande mansuétude il a tout de même pensé à doter les mâles d'une compensation...
Car comme disait votre ami, "La nature, qui a sagement pourvu à la vie de l'homme par la disposition admirable des organes du corps, lui a sans doute donné l'orgueil pour lui épargner la douleur de connaître ses imperfections et ses misères"
Bien à vous
Qu'est-ce que c'est que ces choses, régle de bienséance, protocole, commisération, caste inférieures impures, mon salon, la compagnie des miens, je vais vous le dire: le fruit de votre imagination mon vieux. Je vous dis que je fais pas salon et vous voilà vexé comme une marquise. Vous êtes trop philologue pour moi, ne vous en déplaise, vous avez besoin d'aimer... et comme vous êtes pas croyant ça se traduit en besoin d'être aimé. Vous allez au devant de grosses déceptions.
Vous me dites que vous trouvez que c'est joli et sans intérêt ce que j'écris dans ce blog. Ou vous êtes très con ou très faux, car ça n'a rien de joli, ça respecte à peu de choses près les règles du français, en revanche, et ça n'engage que moi, ça pourrait certainement atteindre un homme qui s'intéresserait à la vérité; ça n'a pas l'air d'être votre cas, donc...pour l'instant...je secoue la poussière de mes godasses et reprend mon chemin de Damas.