mon compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dantec

  • Cultes et cultivateurs

     

     

    veau savant.JPG

    Conseiller littéraire, auteur, musicien.

     

    Activités : Algorithmic composition

     

    Livres : Virginie Despentes, Dantec, Michel Houellebecq, François Bon, Nietzsche, Arthur Schopenhauer, Gilles Deleuze, William S. Burroughs, Emilio Gentile, Pierre Milza, Zeev Sternhell, Matzneff, San-Antonio, La Série Noire, Anna Gavalda, Seneca the Younger

     

     

    Voilà un type qui a plus de mille cinq cent amis sur  le site facebook, là où je l’ai trouvé. Un type qui doit plaire aux gonzesses malgré sa tronche de premier de la classe ou à cause de ça, va savoir, du moment qu’il affiche un tel succès. Pour les femmes, comme pour les démocrates, le succès fait la valeur.

    (L’ai déniché dans la liste d’amis facebook de ma femme (parait que je suis marié mais rien de moins certain au plan national). Je crois qu’elle cherche un mec qui puisse lui dire si ce que j’écris dans ce blog a une quelconque valeur. Elle suppute, me connaissant un peu. Elle peut chercher longtemps. Je dis pas ça pour me vanter mais qu’elle en trouve un, peux vous dire qu’il l’enverra se faire voir, sinon, qu’il relise encore. Une femme qu’aime pas les carpettes Olga, au propre comme au figuré et le sexe encore moins. Ça nous fait un point commun, peut-être le seul. Un point et demi parce que j’aime les carpettes au propre, même un peu sales.  M’a beaucoup fallu manquer de pitié pour fuir une femme pareille, l’abandonner à sa mère, quelle inconscience aussi ! On apprend beaucoup de ses lâchetés quand on les a déféquées, suffit d’observer en se bouchant le nez, ou en se collant un biscuit dans les narines, comme Proust.
    Les seules femmes que je fréquente sont des amies, femmes ou maitresses d’avant, vais pas renier mon passé. J’étais le roi des cons mais ce serait pas charitable de leur en vouloir, elles y sont pour rien. D'ailleurs, la renie pas, Olga, mais elle est fière et me pardonne pas d’avoir tué ma mère au lieu de la sienne, et de me passer des unes comme des autres. Ça lui passera avant que ça me reprenne.)

     

    Pour en revenir au guignol, à voir ses lectures, je vois pas comment il pourrait piger le centième de ce que je dis. S’est auto-bombardé conseiller littéraire pour escroquer les ouanabies (want to be) romancières ou poétesses. Dieu sait que ça pullule sur le ouaibe. Des fils escroquant leur mère, on sait pas vraiment qui plaindre le plus.

    Et le saviez-vous ? Il y a quelques semaines, dans le hall du salon du livre de Paris se tenait un tout autre salon... celui de l'agriculture...Les visiteurs ne venaient pas admirer le même type de stands hu hu

    Ça c’est une ancienne caissière qui tient un blog et qui a écrit un roman qui s’appelle : Les Tribulations d’une ex caissière, ce qui lui a valu de tenir un stand au salon du livre. Notre conseiller littéraire l’utilise, elle et tous les branleurs qu’il met en exergue sur son blog (Seneca the Younger, peut pas dire Sénèque comme tout le monde !)  pour montrer que n’importe qui peut écrire un livre aujourd’hui, textuel Lulu! Si elle avait été capable de voir que la culture et l’agriculture poursuivent le même but, nourrir des animaux, elle aurait été aussi à même de lui mettre un coup de boule, à l'autre macaque! (peux pas m’empêcher de faire le rapprochement entre une vache et une ancienne caissière qui rumine ses griefs) Je me réjouis quand même pour elle, si son livre est lu par seulement un dixième des caissières de France et de Navarre, elle doit avoir plus de succès que lui. Quand on vend ses recettes faut pas redouter de se faire doubler ! Le commerce ! Le commerce est, par son essence, satanique, disait Baudelaire qui connaissait bien son sujet. “Le moins infâme de tous les commerçants, c'est celui qui dit: Soyons vertueux pour gagner beaucoup plus d'argent que les sots qui sont vicieux.”  Entendez bien que pour B, le moins infâme des commerçants est déjà le plus infâme des hommes. Spéculer sur l’honnêteté, vice au carré, à la puissance, au pourcentage, double vice, comme deux miroirs face à face font tiédir le monde. La loi divine retourne le miroir, pas de spéculation, (spéculos=miroir en grec) marchands chassés du temple, peuple élu, adorateur du veau d’or, à la nuque raide, puni par Dieu qui les vomit, ces tièdes. Objection ! Mais ce type a sauvé une âme de l’esclavage ! Ben voyons Léon ! Elle a passé des chiffres aux Lettres, c’est tout, d’un maquignon à un autre. Va pouvoir adorer les mots à la place des nombres. Idolâtres de nature les femmes, religieuses à merci, et quand la religion est celle de l’argent, elles se plaignent d’avoir mal au dos, à la nuque plus précisément. Caissière ou romancière, si elle a un peu de jugeote, elle va vite se rendre compte que c’est exactement la même chose de nos jours.

     

    Juger de la valeur d’une œuvre littéraire à l’aune du succès qu’elle rencontre est le seul moyen dont disposent ceux qui savent pas lire. Et c’est logique avant que d’être juste. Si Nitche avait su lire Shakespeare, Homère ou Aristote, il aurait pas eu autant de succès près des conseilleurs littéraires.

    Quand on fait passer des âmes de Charybde en Scylla on est un psychopompe, un passeur et qui fait durer le plaisir en plus. Et puis un type qui a choisi ou mérité cette fonction peut pas être ailleurs que sur un site qui rappelle l’Hadès en bien des points. Ce facebook est l’antichambre de l’Enfer, il rassemble les suppôts sans efforts, ni d’un côté ni de l’autre. On imagine mal Balzac ou Baudelaire avoir une liste d’amis, pour rien dire de Céline ou Léon Bloy. Une liste d’ennemis, ça, je dis pas.

     

  • A dada sur mon dada, si si!


    A dada sur mon dada, da da !


    Le temps commence à me botter sérieusement le pope et ma gymnastique s'en ressent. Ça devient de la gesticulation articulittéraire. Mais passons. Pendant que les bobales se démènent pour sauver les indigents à l'autre bout de la terre, vu que ceux autour d'elles sont devenus invisibles, vu que ? moi, je tremble pour mon pauvre cheval qui en claquant pourrait bien me faire passer de leur côté (du côté des indigents pas des bourgeoises ballotées, est-ce utile de le préciser ?) Non que ma vie dépende de ce foutu bourrin qui me sert à me rendre aux divers lieux qui me font gagner mon pain quotidien, mais parce que je me vois mal affronter les cavaliers de l'Apocalypse à pied. Ce serait très unfair et surtout désespéré.

    Cependant je me demande : pourquoi des cavaliers ?


    9:17 Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre.


    De leur pots d'échappements ?  Mettez-un tigre dans votre moteur que disait la pub de je sais plus quel marchand de mort, Total ? Total ! ha Total ! quel nom prophétique ! Global l'aurait fait aussi, mais j'aurais dit Total quand même, Total le dit Global que j'aurais écrit. En vérité le Final (d'ailleurs je me souviens de Fina aussi, il me semble mais bref, vous m'avez compris). On veut dire Total -6- les nazis -6-, on traduit global -6- encore les nazi mais américanisé cette fois -6- et on finit par signifier Final. (qui vise une fin, un but)

    Car ne vous y trompez pas ! Si le pédéraste Goebbels a cru bon de rectifier l'interprète lors de son procès à Nuremberg, rectification qui portait sur le terme allemand total lösnung ( traduit en français et en anglais par « solution finale » !) c'est qu'il y voyait, en bon nationaliste socialiste, c'était une solution globale, tout bêtement. Il croyait au bonheur de l'humanité, là sur la terre, comme l'entière population planétaire bobale, qui voit la planète comme une boule de cristal. La même croyance qu'utilise toute honte bue la dictature capitaliste chrétienne démocrate aujourd'hui. Et vous trouvez ça drôle ?  Dans le pays où je vis, ils en sont à hésiter entre élire une femme ou un voleur emprisonné à la présidence, oui Baronne, il vous faudra dire ma présidente peut-être ! A l'heure où j'écris ça doit être fait (l'élection ou si c'est la semaine prochaine je sais pas) mais pour moi je vois pas trop la différence. Je pourrais faire le misogyne mais ce serait trop facile. Mais enfin ça montre bien qu'on est proche du final, pour pas dire totalement dedans. Disons que globalement, la bête touche à sa fin. (Si vous arrivez pas à suivre ne craignez pas de relire).


    Je délire ?...


    Je vous le dis en vérité, pauvres aveugles bouchés par tous les trous que vous êtes. Dans le ventre de la bête que vous êtes tous bandes de pédés, oui même les brutes rugbynomanes, les voleurs de chapkas à l'arrachée (c'est le cas de mon peut-être futur président) les poètes pétomanes annalitisés genre Dantec, Houellebecq, et toute cette bande bec pas très fins, les costaud de la téloche, de la presse, les Hiroshima mon Zémour, les capitaines capitonné d'industrie puissantes et hasardeuses,  et les petites fiottes coquettes et implacables tueuses, genre Poutine ou Sarkozi, qui disposent d'une force d'armement redoutable, des chars aux lance missiles et leur gaz d'échappement, celui qui leur échappe au moment de l'impact. Bref toutes ces tapettes qui nourrissent le Léviathan, je les prends une par une dans le petit bois derrière chez moi et je leur fais avaler ce qui leur sert de couilles, métaphoriquement bien entendu et s'ils le souhaitent, je leur fais rendre gorge comme on dit, la bourse ou la vie que je leur dis en substance. César ou Dieu ! très politiquement incorrect, convenez-en ! mais qu'il soit bien entendu entre nous, si nous nous quittons vivants, que ma charité n'a d'égale que celle de Dieu et que s'il refuse le pacte d'amour, et qu'il veut me foutre sur la gueule avec ses petits poings ou qu'il me sort une arme dissimulée, son canif de boy scout ou son portable à rayon laser, la foudre du seigneur et mon cri qui tue l'enverront tout droit en Enfer. (Jamais négliger la foudre dans un combat loyal, c'est un conseil que je donne  volontiers à mon petit cousin) Le coup de foudre en effet me serait FATAL si mon adversaire se trouvait être une tigresses slave aux yeux fendus. ELLE me serait fatal ! ha ! Seigneur... la beauté du diable ! me l'avez fait toucher par tous les bouts de ma peau, sentir et connaitre jusqu'en son fond merdeux, du fion du cœur, sodomite jamais rassasié, le bougre diable implacablement attiré dans le trou noir et puant de la sottise humaine, de ce trou du cul d'Apollon. Mais la beauté de cette Circée, au contraire de Rimbaud, moi je l'ai pas trouvé amère. Pas le moindre. Tout au rebours. Je l'ai trouvé écœurante, beaucoup trop sucrée depuis que le goût des friandises m'a passé. Le Lapin parle de physiocrates, je trouve ça très bien vu. Voilà en quoi la foudre peut transformer un homme. La foudre de l'éternel féminin certes mais aussi celui de l'éternelle connaissance, le feu de Prométhée, de Lucifer)


    Pour les couleurs des « cuirasses »  je suis pas assez couillu pour vous le dire pour l'instant et je crains de dire des iconneries.


    Dans la mythologie grecque, Hyacinthe (en grec ancien Ὑάκινθος /Huákinthos) est un jeune homme d'une grande beauté, aimé d'Apollon et Zéphyr. Il trouve la mort accidentellement ; de son sang naît une fleur.

    Le pseudo-Apollodore offre une version différente : Hyacinthe est le fils de la Muse Clio et du mortel Piéros, héros éponyme de la Piérie. L'aède thrace Thamyris s'en éprend, donnant ainsi naissance à la pédérastie. Ha fichtre foutre, bigre bougre !


    Hum, ça commence à s'éclairer. Pour le feu et le soufre vous comprenez comme moi, c'est assez clair, si j'ose dire.


    Mon bourrin a moi contient cent trente six chevaux sous le capot. C'est un nombre à prendre avec des pincettes vu les circonstances (ce ne sont pas des chevaux fiscaux, ceux-là on connait très précisément leur nombre, mais des chevaux vapeurs, et la vapeurs n'est-ce pas, c'est pas facile à compter !). Mais le temps que je les rassemble ces chevaux à tête de lion, et que je les lance à l'assaut des pourfendeurs écolomerdeux, les physiocrates à moustache du genre ma mère (et Mamère la mémére noël des pacseurisés à haute température, aussi) les Zébulons et leur culot, leur cul dans l'eau planétaire, les mulots Hulot à vouloir transformer le monde en celui de petites femelles révoltées par le nombre de méchants capitalistes qui souillent son jardin d'Eden à la con, ces salopes qui se font cul bénits pour nous faire croire que les entrailles immonde de la bête dans lesquelles ils gesticulent sont sans odeurs, et pleines de saines et pures viscères derrière les icones/écran qui en tapissent les parois ! et tous les cultureux, raciniens, stendhaliens, lacaniens, proustien, les Kultureux Kandiskiens wagnériens nitchéistes, les leclézien les levisiens les begbédiens, les nonnes athées onfrayienne, finkielkrautienne, les nababs hollywoodiens et leur putes asservies les bushiens, les obamiens, les Jézabels qui les sucent, les Scarlet Johanssonienne, les Marilyn Monrothéistes lubriques... brêfle, la liste est loin d'être exhaustive et pour tout vous dire, quasi infinie... mais pas pour Dieu n'est-ce pas... pour lui cette liste n'a pas vraiment d'importance, c'est l'autre liste, beaucoup plus courte, celle des élus qui l'occupe. Bref le temps que je les rassemble et que je fasse le tri parmi les canassons survivants à ce froid implacable -6- moins vingt-six !-6- qui sévit depuis trois ou quatre jours, la lune décroit mais n'est qu'au demi croissant, je crains le pire, et que ça dure, et que mes montures chevalines n'y résistent pas, le temps donc, toujours le temps, le maudit temps !


    Mais à tout Seigneur tout honneur !

    A nous pauvres pécheur il est demandé sans tarder de s'occuper de la bête et de trancher !

    Comme dirait mon pote, décider une fois pour toute et sans détours s'il faut dire Amen ou merde à Dieu. Trancher dans l'art ET dans le cochon !


    J'ajoute ceci vite fait pour les sensibilitées écoloses ; à méditer :


    9:19 Car le pouvoir des chevaux était dans leurs bouches et dans leurs queues; leurs queues étaient semblables à des serpents ayant des têtes, et c'est avec elles qu'ils faisaient du mal.


    Rien ne ressemble plus à un serpent qu'un moteur et son tuyau d'échappement, sa queue pour ainsi dire, car elle est généralement placée à l'arrière cette tubulure qui pète. Le tulbécule de papa, comme disait le fou chantant.