Si je fais penser à Lucchini quand j'écris (une de mes rares et donc précieuses lecteuses m'en fait le reproche à peine voilé) ça ne peut être que le fruit de son imagination à elle (je dis lecteuse pour ne pas dire lectrice, je suis PAS un écrivain moi, ma chère !) car je n'ai rien en commun avec cette gouape, that béer fop, ce suppôt de la ruche médiatique, ce cornac du Léviathan ! D'abord ce type n'a rien à dire et ça s'entend. (impossible de lui pardonner d'avoir « dit » Céline, ha feu de Dieu, rien que pour ça il mérite de choper un multi cancer otorhinolaryngologique et de l'anus, cet(te) alvéole* de cul. ) Moi non plus, certes, mais je ne le fais pas savoir (je parle tout seul comme me le fait remarquer un blogueur qui n'a pas apprécié ma charité) (encore un qui prend ses désirs pour la réalité, pas le dernier, loin s'en faut)
Je suis PAS là pour expliquer comment il faut penser, ce qu'il faut aimer, qu'est-ce qui est beau, bon, mauvais. D'autres, et des illustres, l'ont fait avant moi. Shakespeare par exemple en décrétant la pourriture au royaume de Danemark. Baudelaire en parlant du diable dans le régime pourri du royaume de la seconde république hexagonale bourgeoise, comme on parle de corde dans la maison d'un pendu. Tabou. La liste est PAS exhaustive mais elle est PAS si longue que ça. A condition toutefois d'en exclure tous les vauriens de ce genre-là et Dieu sait s'ils sont légion, je le mentionne comme un archétype dans l'exemple, l'essaim dans la ruche, le guêpier dans le merdier.
Non je suis là pour révéler ce qu'il faut penser, ce qu'il faut aimer, qu'est-ce qui est beau, bon, mauvais. Comme le fait remarquer un blogueur délicieux, ce qu'on appelait autrefois la culture est devenue ce qu'on appelle aujourd'hui la culture.
Ça vous étonne ?
Mais ma chère, je vous aime pour de bien meilleures raisons que vous, moi.
*alvéole comme étant masculin, alors que ce mot transsexuel est devenu femme depuis une vingtaine d'années.