mon compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Spiritual confort = lethal weapons

 

 

marelle.jpg

Le confort que procure l’internet aux faignasses qui aiment à faire dans l’humanitaire, ce confort est une arme fatale. Elles peuvent signer des dizaines de pétitions par jour sans avoir à mettre un string, des hauts talons et le pied dehors. On a même pas l’espoir que ces cintrées crament au Grand Bazar comme ce fut le cas il y a un siècle, ce qui avait donné matière à scandale pour un écrivain implacable comme Léon Bloy. J’en connais qui vont jusqu’à raconter qu’elles ont des insomnies pour faire croire à leurs bonnes intentions. Comme si la charité pouvait causer des angoisses ! Ce qu’une femme ferait pas pour un peu d’indulgence temporelle ! Jésus lui n’a pas encouragé le zèle de la bourgeoise, à voir comme il démolit Marthe qui s’active à le servir quand l’autre Marie l’écoute en silence. Il avait dû remarquer lui aussi que plus elles s’agitent moins elles agissent. Que celles qui ont des oreilles entendent ! Que les autres fassent de la musique ou en écoutent, les poules pondent mieux sur du Mozart, pas vraiment un scoop !

J’ai été musicien, je sais de quoi je parle. Même médiocre, un musicien est un misogyne qui s’ignore. Il prend les femmes pour des instruments. Une femme musicien c’est un peu la tête à toto, zéro plus zéro. Car en fait tous les musiciens sont femme ! Des âmes de comptable, des moumounes comme disent les canadiens qui n’ont semble-t-il pas hésité à qualifier ainsi leur chef politique (le tiens pas de source très sûre mais ça m’a impressionné). Qui aujourd’hui pourrait espérer virer Sarkozy en le traitant de pédé ? Sûrement pas un Zeymour ou un BHL encore plus moumoune que lui.

 

Un homme qui a un minimum de dignité, qui sait faire taire la femelle qui ne sommeille jamais en lui, cet homme ne devient pas le président d’une république bananière en goguette, une salope qui suce du dollar et branle de l’euro. Encore moins une vedette de la chanson ! Cet homme-là sait que le royaume de dieu ne peut pas être sur la terre, pas plus en France qu’ailleurs. Et pourquoi pas au Liberia ! Au Liberia ?  Après tout un des chevaux de l’Apocalypse est noir !

Ceci : les horreurs qui ont lieu au Liberia et que pas une de ces fainéantes ne relaient comme elles disent, faute d’être tenues au courant par le philosophe guerrier, le tartuffe BHL, ces horreurs, qui sont à peu de choses près les mêmes partout dans le monde, les laissent complètement froides. On peut pas être au four et au moulin, c’est leur devise. Qu’elles s’y fassent enfourner de bon cœur dans leur moulin, ou mouliner au fond de leur four, c’est toujours ça qu’elles n’auront jamais le courage d’avouer. Ainsi sont-elles vouées à être la proie d’abrutis zélés qui les confondent aisément. L’animation sur le blog de BHL est en effet confondante de niaiserie et surtout de sottises pédantes et prétentieuses. Le genre qui plait aux femmes et aux moumounes qui se croit intelligents.

La moins conne des femmes sait très bien que BHL est un petit garçon qui a peur de sa maman, pas besoin d’avoir fait un doctorat en communication pour s’en rendre compte. Après il peut dire n’importe quoi on est sûr qu’il va pas penser le moindre mal des femmes, pas dangereux le bonhomme, il sait pleurer, ça se lit entre les lignes. Donc il a raison, n’y revenons pas. Et puis il est si cultivé, on en mangerait. Si les femmes aiment les imitations c’est parce que l’authentique les inquiète de trop, que c’est trop pour de vrai, dangerous my dear, trop compliqué en plus. Et la philo authentique, ça existe pas en prime, c’est toujours du bavardage social ou politique. C’est pas un type comme Aristote qui va me contredire, lui qui préférait la vérité aux amis, comme ça qu’il a dit son fait au philosophe Platon, son maître ! excusez du peu ! Aristote est péripatéticien comme Marx est matérialiste, parce qu’il faut une pensée dynamique pour vaincre le prisme de la nature toujours en train d’improviser. Une pensée en marche vers… enfin, tu sais!

Sinon, tu sais où tu peux aller te faire mettre, chez Lévy on rase gratis !

Les commentaires sont fermés.