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eternel feminin

  • De la sexualité du con


    Sylvain est en train de faire l'amour avec Sylvaine. Ça doit faire la  cent cinquantième fois qu'il le fait depuis six mois qu'ils se connaissent ; tout est arrangé depuis le début qu'ils se correspondent. On ne pense pas que les filles recherchent une mère chez leur copain autant que l'inverse (des mecs qui se cherchent une mère y a plus que ça !). Autrement dit cette histoire de sexualité est aussi incestueuse que peut l'être toute forme de politique fondée sur la loi naturelle érigée en droit. L'héritage étant la plus inique des conséquences de cette humanité soumise à la généalogie.

    Tandis qu'ils replongent en douceur dans l'ennui après s'être donné l'illusion de s'aimer, elle remarque, la sylvaine, comme en passant, qu'ils sont comme de pseudos parents tous les deux. Ça devrait lui mettre, au Sylvain, la puce à l'oreille ce genre de remarque anodine. Mais il est sourd comme un pédé. Il trouverait même ça trop choux l'abruti. Alors que c'est d'une lucidité confondante.


    Tout se joue ensuite sur les conséquences. Pour une femme c'est le moment de se reproduire, de faire une famille, de fonder son immortalité, de se prendre pour un démiurge, bref de faire ce qu'elle a à faire et dans la douleur si possible pas qu'elle s'imagine que ce serait un jeu. Car c'est une grave affaire. On insiste jamais assez sur le problème démographique. Dans le meilleur des cas on accuse ceux qu'on prend pour des hommes (tous les politiciens de la terre) de faire des politiques natalistes, alors que c'est ce qu'une femme peut faire de moins idiot, refuser de se soumettre à cette loi implacable de la nature. Ne serait-ce que pour ne pas offenser Dieu. Mais si de dieux elle n'a plus, c'est au nom d'elle-même qu'elle s'autorisera à polluer le monde de son engeance délétère. Quand elle fustige l'homme de saloper la planète elle ne se demande pas comment il en est arrivé là. Si les rivières sont toutes pourries ça ne pourrait pas être du au fait qu'elle a besoin de prendre au moins une douche par jour ?  sans compter le ménage si elle est un peu maniaque de la propreté comme souvent les putes qui connaissent très bien le genre de taches qu'elles cherchent à éliminer sans cesse.


    Non, croyez-moi ou allez vous faire enfiler, l'eternel féminin nous l'a mis NATURELLEMENT bien profond. Oui, il est naturel, en quoi il s'arrange très bien d'un système économique injuste (parce que l'injustice existe dans la nature, le beau le laid le faible le fort). L'éternel féminin est aussi implacable que la nature et il nous conduit, comme Orphée à l'apprendre au dépend de la vérité. Les Furies qui déchiquètent Orphée, pour répandre ses membres épars, symbolisent très bien cet éternel féminin qui, après avoir encensé les talents du bel Orphée (subjuguées par sa harpe  et sa voix), se lassent de lui à la faveur d'un bruit plus fort (la femme Thrace et sa trompète (de la renommée ?))  qui vient interrompre le charme. Et le chaos s'ensuit. Et la rivière Hélicon (symbole du savoir et de la sagesse) d'être enfouie par la volonté d'autres déesses. Ainsi la science doit se dissimuler en des temps de femelles pour rejaillir ailleurs, en d'autres nations est-il dit dans la fable.


    Un temps, les Russes ont cru être des hommes virils, épris de vérité. Mais ils l'ont vite oublié cette vertu quand ils se sont jetés dans le culte religieux de l'état et donc de la politique même. En quoi ils sont devenus une nation de pédérastes, de petites fiottes élevées sous la grand-mère. Dans les nations slaves, le communisme a rendu aux femmes la part économique (et de pouvoir donc) qui leur revenait. Elles en ont, comme de bien entendu, abusé. Le système est bien rodé. Les hommes sont éliminés de l'éducation très adroitement dès la naissance pour ainsi dire. C'est la grand-mère maternelle qui élève le bambin pour en faire une fiotte soumis à sa femme. Tous ces pédés œuvrent, dès que la légalité leur permet, à enrichir leur famille des saloperies exigées par leur femme. Comme elles ont pris de l'assurance dans le stalinisme qui fut une bonne école préparatoire au capitalisme ! La même aliénation règne dans les deux systèmes, l'une sous la forme d'une soumission à l'état l'autre sous la forme d'une soumission à la marchandise, à l'économie donc à l'état aussi. Soumission religieuse dans les deux cas. L'ironie c'est que les femmes slaves sont en avance d'un pas sur leurs homologues américaines parce qu'elles ne gobent pas entièrement les salades de Freud ni celles de la religion. En femmes qu'elles sont, elles voient très bien l'avantage de jouer sur les sentiments de ces petits pédés qu'elles ont formés. Disons plutôt sur leurs humeurs. Et de là leurs angoisses. Les voilà donc contraints, ces sous-hommes, à gagner un max de fric au prix de n'importe quelle trahison, du détournement de n'importe quel message biblique de pitié etc. Ce petit pédé-là est aussi cruel qu'une gonzesse quand il s'agit du bonheur de sa poupée. Il lui sacrifierait la lune, pour le moins. La vérité ne l'intéresse pas le moins du monde.


    Le Chinois quant à lui est prédestiné à s'entendre avec le pédéraste américain tant il lui apparait comme asexué (un jaune n'a pas de sexe pour un yanki) c'est donc business business entre gonzesses.


    On m'enlèvera pas de l'idée que l'économie, le commerce, la politique, sont affaires de femme. Que les hommes qui en croquent se demandent ce qui les différencient de leur femme, en toute honnêteté.

    Le jour où ces hommes s'apercevront qu'il n'y a pas de différences significatives alors le temps sera venu de leur disparition. Et les hommes qu'ils deviendront ne s'emmerderont plus avec des duplicités de gonzesses avides : enfiler ou se faire enfiler à longueur de temps, il y a sûrement mieux à faire ! Mais allez dire ça à une femme ou à un obsédé sexuel, ils vous rétorqueront que c'est la loi de la nature, la seule raison de l'existence, la loi de l'espèce.

    L'homme ? une espèce de con sexuel en somme !

    Franchement si il n'y avait pas eu Jésus pour relever le niveau, moi, l'humanité, je me serais assis dessus pour la conchier.


    Allez mon vieux sylvain, encore un petit coup dans le chapeau, dès fois qu'il en sorte un lapin.




  • Du Mistral en mer Noire


    Là où on voit vraiment que la bête se mord la queue c’est quand on apprend que « la France pour sauver des emplois dans le chantier de Saint-Nazaire s’apprête à ventre cinq Mistrals, navires de guerre de haute volée, aux Russes. » Les Géorgiens n’en mènent pas large. Les Baltes en font dans leur froc. D’une part  on joue les arbitres entre une puissance et ses vassaux et de l’autre on fournit à la puissance en question de quoi museler à terme toute velléité de révolte chez ces vassaux. Révoltant. Et pourtant logique.

    « Un peu plus d'un an après la brève guerre en Géorgie, la France, pays négociateur du cessez-le-feu d'août 2008, régulièrement violé par Moscou, s'apprête à vendre des bateaux de guerre à la Russie. Certains, assurément, y verront un symbole politique embarrassant. À Paris, on minimise ces critiques en rappelant que le navire sera fourni aux Russes «nu, sans système d'armes». «On ne peut pas dire qu'on veut créer un continent de stabilité avec la Russie, bâtir un partenariat avec elle, tenter de rallier Moscou sur les grands dossiers du moment, comme le nucléaire iranien, et refuser de leur vendre des armes. Ce serait en contradiction avec notre discours  », défend une source proche du dossier. »

    On voit bien que l’argument est spécieux. Soit on vend des armes soit on en vend pas. « nu sans système d’armes » on dirait qu’ils  vendent des  machines  à coudre, méprisant totalement le fait qu’il vient de dire « sans système d’arme » pour ensuite parler de vente d’arme. Tout ça dans le même discours. Impressionnant. Donc je pointe ou je tire ? Si je pouvais tirer je te ferais un carreau sur place. Mais pointons, il faut placer des boules. « En contradiction avec notre discours » ? mais tout ce  discours est truffé de contradictions ! Ça dit tout et son contraire. Duplicité déjà  pointée  par Marx dirait mon pote.

    « La nécessité de fournir du travail aux chantiers navals de Saint-Nazaire aurait pesé lourd dans la décision et fini par vaincre les réticences initiales de l'Élysée. Face à cette perspective économique et financière, le code de bonne conduite européen sur les exportations d'armes, qui stipule la nécessité «de prévenir l'exportation d'équipements qui pourraient être utilisés à des fins de répression interne ou d'agression internationale ou contribuer à l'instabilité régionale» n'a pas fait le poids… »

    On sent à peine l’ironie du baveux. On va passer au salon pour le café. Si même moi je peux pointer cette folie des états (tous voyous !), l’anarchie de leurs comportements,  moi qui suis bac moins deux mille douze en économie !


    Un symbole politique embarrassant. ! et puis quoi encore ? symbole, symptôme oui !, toujours le même, celui du principe féminin qui exprime et imprime le corps politique. Balzac disait, noter comme c’est gracieusement dit, « elle ne ment  jamais, elle change simplement d’avis ». Dieu sait si Balzac a montré à quel point ce sont leurs  femmes qui font les hommes en  politiques. Les journalistes et pseudo artistes  croient reprendre sur elles  mais toujours retombent  dans leurs  filets, comme ils retournent à leur Pandore, à leur  mère. L’homme  politique est un cocu perpétuel, il discute avec ses potes les industriels supermans et aigrefins, sur les conseils avisés de sa femme tout aussi aigre et fine, tandis qu’elle manipule le monde entier en tenant la meute des loups à l’aide de ses flics de la morale que sont les médias, ou le médiat comme dit mon pote. Tous ces gens qui contribuent de près ou de loin, et ils sont légions, à entretenir ce bavardage inutile autour d’un monde logiquement en quenouille.


    Ha, l’inconstante inconséquence féminine. Cette crapule invulnérable, cette beauté du diable, cette jeune fille assassin de l’art que disait Baudelaire. Là voilà qui se dévoile pour ce qu’elle est. Cette part féminine de l’intelligence, cette curiosité insatiable, qu’on l’appelle structure hystérique fondée sur le manque ou désobéissance à Dieu, c’est toujours la même. Seul un homme peut y voir clair. Chercher à échapper à ses devoirs , se cacher derrière cette Eve éternelle, refuser d’entendre la voix de la sagesse en interprétant mollement les commandements, de l’absurde aux déconstructionnistes post modernes réacs  modernes et autre, l’homme n’est plus qu’une fiotte, une dupe à  troupeau : Léandre,  Pierrot,  Arlequin, derrière Cassandre sous son  prépuce, ou capuce  qu’importe,  c’est un capuchon, un parapluie,  un abri dans le confinement  duquel en passant se développent tout un tas saloperies, mais pour résumer : tous des aigrefins ( Sûrement  de l'ancien français "agrifer", prendre avec les griffes, escroc, "chevalier d'industrie") Fantasque, Oh combien ! Aux costumes fous, Les yeux luisant sous le masque !

    Elle, preste et relevant ses jupes, (on songe à l’industrie milliardaire du porno) la rose au chapeau! conduit son troupeau, et eux :

     

    Eux ils vont toujours !
    Fatidique cours
    Des astres,
    Oh ! dis-moi vers quels
    Mornes ou cruels
    Désastres

     

    (On a beau dire, ce pédé de Verlaine s’y entendait dans les liaisons savoureuses: mornes zou cruels désastres… ça résume en beauté  mon propos !)


    Do mi sol mi fa

    Tout ce monde va

    Rit chante

    Et danse devant

    Une frêle enfant

    Méchante


    Avec un Mistral en Mer Noire la colombine ukrainienne Julia Timochenko a intérêt de revoir ses nattes, le chic français pourrait bien lui en imposer, nu et sans armes ou habillé par  le kremlin.

    Je doute qu’à Sébastopol, comme à Odessa, on en doute  une seconde.