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satan

  • In trust

    Dans l’Apocalypse, chaque lettre à une église correspond à un âge du christianisme, celui de Thyatire est le Moyen-âge de l’an 600 à 1500, surnommé aussi l’âge des ténèbres, c’est l’âge du catholicisme roi. On y retrouve le mot qui signifie ”constellation” et le verbe dont le sens dérivé, plus récent, est ”sacrifier”. L’étymologie de ce mot serait donc sacrifié aux étoiles, aux idoles. Vénus ou Astarté. Nom qui se trouve être en parfaite opposition avec la fin de la lettre qui dit au verset 2:28 « Et je lui donnerai l'étoile du matin. »  Le verset 28 doit être relier aux deux versets précédents pour retrouver tout son sens. « A celui qui vaincra, je donnerai autorité sur les nations, ainsi que moi-même j'en ai reçu le pouvoir de mon Père, je lui donnerai l'étoile du matin. »  

     

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    L’étoile du matin est donc l’image de la restauration de l’autorité royale, symbolisé par le soleil pourpre qui se lève tôt le matin juste avant que ne vienne la pleine lumière du jour, et que l’on nomme « L’aurore ». Malachie 4:2 « Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera Le soleil de la justice, Et la guérison sera sous ses ailes; Vous sortirez, et vous sauterez comme les veaux d'une étable. »
    L’étoile pourpre, symbole d’autorité sur les nations est l’apanage du Fils de Dieu, le Seigneur Jésus-Christ, l’oint de Dieu et Messie d’Israël, lumière du monde et roi des rois.

    Apocalypse 22:16 « Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Eglises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin. »
    Mais jamais satan n’a été un porteur de lumière, ni jamais satan n’a été prénommé Lucifer dans la bible, ni appelé étoile du matin ou nommé fils de l’aurore. Le seul fait d’avoir créé de toute pièce ce nom est un blasphème à l’encontre de Jésus-Christ. Lucifer est un nom blasphématoire à bannir du vocabulaire des chrétiens, le prononcer ou l’écrire reviendrait en fait à ne plus dire satan, mais « Seigneur satan ».
    Satan n’était que rxS Nb llyh "fils de l’aube", l’aube qui est la lueur pâle et diffuse qui précède l’aurore. Cela signifie que le chérubin est créé juste avant que ne se lève le soleil de justice, qu’il doit servir et protéger.

    L’Eglise Catholique romaine, héritière et conservatrice des traditions babyloniennes, a donc traduit dans l’esprit qui est le sien le propos de Dieu dans un sens qui tord la vérité initiale jusqu’à en donner une définition totalement contraire à l’initiale. « Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore », devient donc après la traduction catholique, « te voilà comme l’Eternel, porteur de lumière tel l’étoile du matin ». Il va sans dire que ceci est un blasphème contre le nom de Jésus-Christ et l’autorité divine. Mais comme l’idée est maintenant émise elle sera reprise par les Franc-maçons américains qui sont à l’autorité politique ce que l’Eglise Catholique est à l’autorité religieuse dans le monde occidental et ils la graveront dans l’or et l’argent de leur monnaie, le dollar !

     

    666, etats-unis d'amérique, satan, lucifer, diable,

    Au premier étage de la pyramide est inscrite en chiffres romains l'année 1776 (date de la déclaration d’indépendance), MDCCLXXVI, qu'il divise d'abord en trois groupes, "MDC", "CLX" et "XVI", puis en sous groupes, "M.DC", "C.LX" et "X.VI". En regroupant les sous groupes ensemble, il obtient "MCX" et "DCLXVI", ce qui représente 1110 et 666. Mais si on utilise le système sexagésimal - base 60, utilisé anciennement par les babyloniens - au lieu du système décimal - base 10 - 1110 se transforme en 666, c'est-à-dire 1110 multiplié par 100 et divisé par 60. Ainsi DCLXVI donne 666 dans la base décimale et MCX donne 666 aussi mais dans la base sexagésimale babylonienne.

     Les Etats-Unis sont donc une nouvelle Babylone impériale, bâtit par les franc-maçons.

  • Infernale cinécratie sociale

    Dans son dernier documoqueur en 2009, Michael Moore pose, ou fait semblant de poser la question, de savoir si le capitalisme est un péché et par là-même si Jésus était un capitaliste. Sa conclusion est sans appel, en bon catholique il répond qu’on ne peut être chrétien et capitaliste parce qu’on ne peut aimer à la fois son prochain et son argent. Rendons à césar ce qui appartient à César…

    En bon catholique ? Moore ne semble pas avoir lu le dernier livre du Nouveau Testament, l’Apocalypse de Jean dans lequel il est explicitement fait allusion à l’aspect satanique du cinéma (13:15 Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués.).

    Il peut sembler étrange au profane qu’un chrétien s’en prenne à un autre chrétien. C’est qu’il n’y a pas de demi-vérité, ça reviendrait à adorer des demi-dieux. Ce que Moore révèle dans ses films, c’est l’injustice sociale, par où il lui semble lutter pour une justice sociale, alors que c’est toute la société que Jésus condamne, (pas de royaume de dieu sur la terre, celui qui veut gagner sa vie la perdra) et en sauvant un voleur et assassin sur la croix (un antisocial pour le moins). Moore pourrait aussi lire dans l’épitre de Jude, ceci :

    1:17 Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des choses annoncées d'avance par les apôtres de notre Seigneur Jésus-Christ.

    1:18 Ils vous disaient qu'au dernier temps il y aurait des moqueurs, marchant selon leurs convoitises impies;

    Et un peu plus loin,

     1:22 Reprenez les uns, ceux qui contestent;

    1:23 sauvez-en d'autres en les arrachant du feu; et pour d'autres encore, ayez une pitié mêlée de crainte […].

    Au lieu de se faire mousser au festival de Cannes, le dodu Moore (dont le corps reflète l’âme croyant peser sur le plateau de la balance de Saint Michel, l’archange du Jugement) ferait donc bien de se méfier des brûlots qu’il répand (et vend !) au nom du Christ sous l’oriflamme de Satan.

    Je crains un peu pour lui, ainsi va ma pitié.

    Allez, qu’on envoie l’apocalypse et qu’on ne parle plus de chrétiens cinéastes-sociaux, putains de moines !

  • Léonissime Imposture

     

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    En hommage à Léon Bloy, ma complaisante gratitude pour cette toujours désobligeante histoire.

     

    Il était un de ces rares adeptes qui nient la mort, se persuadant que l'auto survie est un acte simple de la volonté, et qu'il est incomparablement plus facile de s'éterniser que de finir.

    Selon lui, la mort dont parlent tant les imbéciles n'est qu'une imposture, une insoutenable imposture inventée par les fabricants de couronnes, les marbriers et les crémateurs de tous feux.

    Il a même écrit, pour son usage personnel, une fantaisie (hégélienne, hélas !), sur cet objet, en vue d'établir qu'êtres et choses ne peuvent avoir d'autre maintien devant l'Infini que celui qu'il plaît à notre conscience de leur accorder.

     

    (Et si la conscience fait de nous des lâches, ainsi que le souligne Shakespeare, la tenue, le rigide maintien de cet homme, semble un acte de courage plutôt charitable comparé aux courbettes existentialistes hypocrites et égoïstes de ses carreurs de cercles comptant pour rien et qui grouillent comme la vermine, les publicistes, politiques, scientifiques, citoyens enrôlés écolo-libéraux, infâmes Sganarelle à réclamer des gages à longueur de temps.)

     

    Le trouble, relativement inconnu, de son esprit n'est au fond que le trouble de sa pauvre âme et c'est, comme ça, bien assez tragique.

     

    Très peu le comprennent, et ceux-là, que peuvent-ils pour un si grandiose malheureux ? Dieu Lui-même, le Dieu Moloch ne voulant plus d'aristocratie, l'holocauste s’impose-t-il oui ou non !?

     

    [ L’image de Moloch dans la Bible explique que, dans la démonologie chrétienne, il soit devenu le démon qui tire sa joie des pleurs des mères à qui il vole leurs enfants. Prince de l'Enfer, son pouvoir serait, d’après les démonologues du 16éme  siècle, à son apogée en décembre. Dans la tradition kabbalistique, Moloch et Satan sont les premiers des deux sephiroth mauvais. Moloch représente l'aspect négatif du premier sephiroth, le Kether, la couronne de connaissance, la plus cachée des choses cachées, la compassion absolue.]

     

    Le génie littéraire lui a été donné par surcroît, mais c’est la broutille de son supplice.

     

    Qu'ils avaient été beaux les commencements ! On avait vingt ans, on éblouissait les hommes et les femmes, toutes les fanfares éclataient sur tous les seuils, on apportait au monde quelque chose de nouveau, de tout à fait inouï que le monde allait sans doute adorer, puisque c'était le reflet, l'intaille fidèle des primitives Idoles.

     

    Qu'importait qu'on fût très pauvre ? N'était-ce pas une grandeur de plus ? On avait, d'ailleurs, une besace pleine de fruits qui ressemblaient à des étoiles, ramassés à pleines mains dans la forêt lumineuse, et on ne doutait pas de l'Espèce humaine.

    Mais on s'aperçut un jour que les hommes, dégoûtés du pain, réclamaient à grands cris des villas de maitre, qu'ils voulaient qu'on leur frottât la plante des pieds avec le gras des petits boyaux des Princes de la Lumière, et ce fut le commencement de l'agonie qui dure encore.

     

    Elle a ici trop de témoins pour qu'il soit nécessaire de la raconter. Le courage, d'ailleurs, me manque. Me réserve que la dernière et suprême phase très ignorée, celle-là, très profondément ignorée, pouvez m’en croire, et dont je veux être le divulgateur implacable.

    Nous verrons alors la couleur du front de certains !

    Dieu reconnaitra les chiens…


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    Toujours l'air d'un Samson faisant éclater les cordes ou les entraves dont les philistins naïfs auraient la prétention de le fagoter pendant son sommeil!

  • Le Monde rêvé des petits dieux actionnaires de la planète.


    Dans une note intitulée « La planète n'a pas besoin de nous » sur un blog appelé Biosphère* dont le propos est de nous dire de quoi la planète a besoin, j'ai répondu ceci à la suite de commentaires qui évoquaient une règle d'or universelle (sic) : « Il faut aimer son prochain comme soi-même, ne rien lui faire que vous ne voudriez qu'il ne vous fit, et lui faire constamment tout le bien que vous voudriez en recevoir. » et un autre quidam et sa vision janséniste du christianisme : « Etre un bon gestionnaire n'est pas détériorer ce que nous avons, ce n'est pas manger le capital, c'est s'en occuper avec respect, sérieux, anticipation pour notre bien et celui des générations à venir. Je dirais qu'il faut aimer la nature (ou la biosphère, c'est pareil) car elle est créée par Dieu, et il faut la garder et la protéger car elle ne nous appartient pas. »

    j'ai répondu ceci :

    Cette idée que nous serions les locataires de la terre! que Dieu nous aurait légué, c'est la patience du petit rentier, pas celle des saints.
    Quant à votre règle d'or, elle vaut peau de balle, l'homme ayant autant de goût pour le mal, pourquoi irait-il faire le bien? ça ne tient pas debout.
    Choisir entre Dieu et César comme le suggère Christ, c'est renoncer à faire autre chose qu'à être appelé et appeler soi-même. Pour le reste, bâtir un royaume de Dieu sur la terre, faire le bonheur de l'humanité, avec une règle d'or de pacotille et un brevet de gestionnaire/Pilate, c'est faire acte de politicien, donc de pédé boiteux, incestueux, assassin, et tyran: Oedipe lui-même, ou Claudius mais sûrement pas Hamlet!


    *Je rêve d'une Biosphère où l'objection de croissance permettrait à chacun de nous d'être amoureux de la Nature. A condition de bien lire, même un journal croissanciste [sic] comme LeMonde peut alimenter mon rêve.

    Les sociétés humaines sont plus ou moins bien adaptées au milieu environnant, la société thermo-industrielle est la moins durable car elle détruit les écosystèmes. Les amoureux de la Nature et les objecteurs de croissance ont donc un objectif commun, prendre la défense des intérêts de la Biosphère et dénoncer avec force cette société de prédation.


    Me voilà donc avec un amoureux de la nature (avec  une majuscule, le païen !), un rêveur de plus sur le dos car je suppose que mon commentaire va déchainer le ressentiment de ces graines de Judas. (comme lui, ils prennent Jésus pour un homme politique providentiel)  On voit bien que les bêtes se battent entre elles. Ainsi ces deux suppôts de Satan à se faire tous les deux passer pour des sauveurs de l'humanité en péril et qui ne font qu'ensiler le Léviathan. Les accointances avec le Monde, journal hautement diabolique et d'ailleurs voué à disparaitre comme tous ces semblables et ils sont légion, vont m'être sans doute révélées mais qu'importe, j'ai tranché.


    Le mot clef chez le janséniste c'est générations au pluriel comme il se doit.

    La généalogie, la génétique, la régénération, bref le croissez multipliez du premier chapitre de la Genèse qui est plutôt un faites fructifier et devenez multiplicateurs étymologiquement. Pas toujours bien compris cette affaire-là. « remplissez la terre; et l'assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur toute bête qui se meut sur la terre. » Pas oublier que ceci fut dit avant la chute, (qui n'intervient qu'au troisième chapitre de la Genèse) et que ça ne concernait donc pas l'homme et la femme. Ce n'est pas à eux de se multiplier. Ils doivent faire fructifier, remplir la terre et l'assujettir, règne végétal et animal, et dominer les mers et les cieux, il n'est pas question de leur reproduction à eux, puisqu'ils sont encore immortels à ce moment de la création. Dieu crée l'homme à son image, il le crée double, mais pas disposé à devenir légion. C'est le résultat de la chute qui engendre, c'est bien le mot, la multiplication humaine et donc la mort. Et la prophétie de l'Apocalypse c'est qu'il sera tranché dans cette « population » qui se croit désasujéttisée, débridée en somme. Bêtes contre bêtes, la luttes des puissances d'en bas.


    Maurice Rollinat, un poète post baudelairien (1846-1903) en a fait un poème éponyme (Croissez Multipliez)  Rollinat dont l'aspect névralgique exerce une formidable emprise sur les spectateurs quand il se produit sur la scène des cabarets parisiens ! De nombreuses personnes s'évanouissent, parmi lesquelles notamment Leconte de Lisle et Oscar Wilde ! Les pédés de cette époque avait le sens du spectavle. Voici la fin de son poème qui figure un père s'adressant à ces quatre fils.

    (Son ami Jules Barbey d'Aurevilly trouvait que « Rollinat aurait pu être supérieur à Baudelaire par la sincérité et la profondeur de son diabolisme ». Il qualifie Baudelaire de « diable en velours » et Rollinat de « diable en acier »)


    Mangez fort ! et fait'-vous du sang, des muscl', des os !
    Buvez ! mais sans jamais perd' la raison d'un' ligne ;
    Pas trop d'peine ! Ceux qui s'us' au travail sont des sots.
    Réglez la sueur du corps ainsi q'le jus d'la vigne !

     

    Comm' faut q'la femm' soit pure avec des yeux ardents,
    Q'fièr' dans les bras d'l'époux qui n'cherch' qu'à la rend' mère
    Ell' yoffr' l'instant d'bonheur qui fait claquer ses dents
    Pour que leur vie ensemb' ne soit jamais amère.

    Voyez-vous ? l'trôn' d'un' femme ? C'est l'lit d'son cher époux.
    C'est là q'jeune ell' pratiq' l'amour sans badinage,
    Et q'vieille ell' prend, des fois, encore un r'pos ben doux
    Au long d'son vieux, après les soucis du ménage.

    Là-d'sus buvons un coup ! dans ceux chos' de l'amour
    J'vous souhait' de pas vous j'ter comme un goret qui s'vautre,
    Et que, pour chacun d'vous, l'plus cher désir toujours :
    Ça soit d'faire des enfants qui puiss' en faire d'autres ! »


    Et d'autres encore... Génétique, génération, généalogie, tout ceci symbolisé par le figuier stérile de la bible, l'arbre de la connaissance, dont les fruits ne donnent rien que la mort toujours recommencée et qui figure bien la chute. Toute la foi janséniste repose sur ce postulat de comptable et qu'il faudrait gérer cette diabolique duplication au mépris de l'avertissement de Jésus. Qu'ils rejoignent le monde des nombreux adorateurs du nombre d'homme : 666 comme il est écrit dans l'Apocalypse.