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  • Correction politique

    Tandis qu’en Ukraine apparaît un nouvel homme providentiel, de sexe dit faible et portant le doux prénom de Nadia (« espoir » en russe), ce qui fait quand même beaucoup même pour la providence pourtant rarement prise au dépourvu, alors qu'on vient de dévorer une brassée de shashlikis (des brochettes) chez mes voisins après une dure journée de labeur au jardin, voilà-t-il pas qu'on évoque la possibilité, au point où on en est de désespoir publique, de ma possible participation sur l'échiquier politique (comme on dit) ukrainien. J'ai dit stop tout de suite, sans motiver cependant. Alors voilà, m'en vais le faire incontinent.

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  • Exit Pénélope

    « Voici ce que je dis, frères, c'est que le temps est court; que désormais ceux qui ont des femmes soient comme n'en ayant pas, ceux qui pleurent comme ne pleurant pas, ceux qui se réjouissent comme ne se réjouissant pas, ceux qui achètent comme ne possédant pas, et ceux qui usent du monde comme n'en usant pas, car la figure de ce monde passe. »
    Paul aux Corinthiens ; c'est ici d'une forme de prétérition (action de passer sous silence) inversée que l'apôtre nous invite à user. Ce n'est pas faire en passant sous silence qu'on fait, mais NE pas faire en passant sous silence qu'on fait. On fait ce qu'on veut mais dans l'esprit on y est pas vraiment, l'Esprit n'y est pas.

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  • Une bonne nouvelle

    Quand ce n'est plus de la gymnastique littéraire ça devient vite une sale manie, je laisse aux sages le soin d'en juger. Alors voilà j'ai un pilon, fruit de mes premières amours avec ce pays. Déjà sept ans le bonhomme, l'âge de raison. Et c'est en cours que je le rencontre bientôt. L'ai pas vu depuis sa naissance, les deux semaines où je lui ai donné, non pas le sein, mais le son. Lui ai donné la voix de son maître, comme dit l'autre.

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  • Un jeudi comme un mardi

    Les amis sont comme les femmes, chiant comme la pluie quand le temps est mauvais et pénible comme le soleil quand il fait beau, après on peut aimer la pluie et le soleil, je laisse aux sages le soin de juger.

    Comme je veux pas trop en imposer avec mon imbécile gymnastique littéraire, me fais un peu rare à vous écrire, je crois. Je préfère écrire à Lapinos, plus charitable que vous. Mais bon, voilà, Lapinos n'a pas que ça à faire de lire mes bafouilles, en plus il lit très lentement et j'écris très long et très vite ! mon côté sincère un peu pénible. 

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