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  • Proposition adoptatée


    En laissant trainer mes yeux sur l'écran de ma voisine, j'ai pu voir la bande annonce d'un film dont je ne saurais dire s'il est récent ou pas, mais je pensais à Coluche, laisse Madeleine, et tenez-vous bien les proustien, cela m'a ramené au délire pédérastique ET politique du célèbre Colucci . Dans la bande annonce, c'était Gérard Darmont et Gloup, là, le chti,  j'oublie son nom, Boum, Bloom, Boon ! c'est ça Dany Boon (bonjour les noms à la con !)  qui jouaient les homos genre remake de la cage aux folles avec Serrault ou un autre de ces pédés d'acteur. Coluche, Michel, quant à lui, pour les intimes, avec l'autre luron, l'imitateur de Giscard, leur mariage provoc déguisés en folles et toujours à dégueuler contre la politique et les politiciens le Coluche et Le Luron. Si le but était de dénoncer le côté tapette des politiciens on peut dire que ça s'est bien retourné puisqu'au final, comme disent les lecteurs de Gicerilla Télérama, ça s'est terminé par un vrai mariage de vrais pédés avec revendications sociales à la clef : un statut social, marital, génital et surtout légal et pénal et juridique avec héritage inclus, bref de la vraie corruption légalisé certifié conforme, la bourde, autrement dit. Les politiciens qui aiment bien les pédés et les gonzesses car ça les rassure sexuellement et politiquement vu qu'un pédé ou une gonzesse n'a rien contre la politique, disons pas grand-chose, si en plus ils se marient et adoptatent* des enfants c'est le client idéal.


    Or, Coluche, lui, avait l'air d'en avoir. C'est le seul artiste qui ait eu assez de couille, si on excepte Ronald Reagan, mais lui avait deux colts 45 à la hanche, pas une paire de jarretelles oh, c'est pas la même que deux petites couilles sur une Harley david son of a bitch, assez de couilles (bis repetita) pour se présenter aux présidentielles. Je ne vais pas m'appesantir sur l'erreur qui consiste à croire que c'est la politique qui l'a tué, mais c'est une erreur vraie. Je crois à la thèse de l'accident, moi. Le hasard pour les non chrétiens, mais pour moi il est clair qu'il avait mal compris les paroles de Jésus : rendez à César. Résultat ein gross problem légué par le clown gauchiste : génération spontanée légalisée pour les homos au point de fermer la gueule à voltaire (l'affaire du député qui s'est cru sous la troisième république) ce qui serait de peu de conséquence si en plus on y ajoutait le tricotage du droit pour y inclure l'idée de harcèlement pédophobe, changement du droit consistant à exiger, au contraire du fondement du droit français, de l'accusé qu'il fasse la preuve de son innocence alors que la victime n'avance aucune preuve de sa culpabilité autrement qu'en évoquant une vague insulte de cour de récré, ou pour les femmes une vague paluche qui tient autant de la flatterie (pas très raffinée) que de la lubricité. Est-ce le terme qui est insultant ? pédéraste ? mais si « gay » devient académique qu'en sera-t-il d'homosexuel ? (j'ai remarqué que mon frangin disait gay. Faut se tenir au courant si on veut pas se retrouver au tribunal, lui-même d'ailleurs, jamais trop aidé le frangin pour courir la gueuse et lui faire son numéro de poète contrarié par la société, le comble !).

    Comme ces acteurs qui croient travailler en composant une folle hystérique, en vrai, je vous le dis, ils n'y croient pas ces pédales, ils savent bien qu'ils peuvent le faire mieux que personne, c'est la perversion inhérente au métier qui veut ça.


    La mort de Coluche c'est la main de Dieu mon pote, que tu le veuille ou non, c'est la preuve qu'on ne rigole pas avec la politique, et encore moins avec les gonzesses et les pédés. Me revient une réplique de la bande annonce, Darmont qui fait une grossesse hystérique et qui dit en larmoyant, avec un accent de vérité très pro : « les gens croient qu'on s'amuse chez les pédés, mais pas du tout ! »

    Les Grecs l'avaient déjà compris qui faisaient la guerre avant de s'enfiler, c'est quand même plus classe que d'écouter du Mylène Farmer en sirotant des Mojitos, malicon !



    *adoptation c'est le terme juridique pressenti pour la chose afin de la distinguer de l'adoption simple ou plénière.


  • Con comme la mort


    La dernière fois que je suis mort, c'était il y a un quart de siècle, j'en menais pas large. mais enfin j'ai pas trop eu le temps d'avoir peur vu que je me suis évanoui d'ennui. Tandis qu'un mec me parlait pour ne me rien dire et que je lui faisais la charité de l'écouter, une faiblesse m'a pris dans la chair et le sang ayant fuit mon entendement, je me suis écroulé à la renverse, raide mort. Puis juste quand j'ai rouvert les yeux, j'ai eu la certitude d'avoir les deux jambes coupées ! C'était par là que j'avais péché, j'avais conduit jours et nuits, métier de fainéant, j'étais puni par là. Cette seconde m'a marqué, c'est peu de le dire. Mais c'est celle d'après que je préfère, la résurrection totale qui a suivit, la joie du pardon. Mes jambes n'avaient rien, je n'avais rien, car dans le délire de mon retour à la vie, je revivais un accident de mobylette qui m'était arrivé dix ans plus tôt, qui s'était terminé que je m'étais réveillé au milieu de la route tandis que des voix de femmes criant que j'étais mort me parvenaient comme dans un cauchemar; et là encore je n'avais rien eu.

     

    C'était comme si on rejouait la scène pour mieux que je la comprenne.  Dès lors que j'eus compris, il ne pouvait plus rien m'arriver. J'ai mis un certain temps pour ça et c'est toujours difficile à accepter. Mais on me la fait plus à la freudienne, j'ai toute ma santé mentale merci, pas une drogue à part le rouge et à dose trop raisonnable pour un bourguignon.

    Comme disait un pote, c'est  absolument relatif cette affaire de la mort et relativement Absolu. La trouille l'emporte chez quiconque n'a pas eu la révélation de la vérité, c'est mathématique, inexorable, absolument vrai et c'est précisément la peur de la mort qui mène au cinéma, au vaginal paradis artificiellement rendu à son naturel. La vérité c'est que la mort n'existe pas, c'est le test suprême, c'est tout. Si t'es assez con pour y croire, alors c'est ton destin, le trou sans fond t'attend, ou la salle obscure en guise de purgatoire, c'est le fion du problème.

    L'apocalypse ou la mort, Madeleine*, je te le re-redis !


     

    *la Madeleine en question m'évoque la Belgique, la Picardie et la Punk attitude, et en rien ce pédé de Proust, je voudrais pas qu'il y ait de malentendus entre nous.


  • You see!

     

    Ouverture cette semaine du Club Misogyne Paris [Think different]. In both language, if you please. As to me don't expect anything, I do not fear the eye of Moscow as my buddies do. Nevertheless they do provide english notes, you'll enjoy it. (you're so clever !)

    Here is the plot :

    'Club Misogyne Paris' is made for People without Gender who are not concealing the Mother Fucking Principle behind drug, sex, rockn' roll, dreams, sea-sex-and-sun, style, cinema, marriage, polls, newspapers, Obama...

    In other words, Oedipus is not welcome here, where we try to 'think different', not as German or Yankees.

    So what ?


     

     

  • Oyez Oyez!


    Opening this week du Club Misogyne Paris [Think different] (vous savez Apple la machine qui fait faire des robots par des robots pour des robots)

    C'est un Club international, les langues de Molière et Shakespeare s'y côtoient et Honi soit qui mal y pense ! (me chicanez pas sur la faute y en a pas, c'est comme ça que ça s'écrivait du temps où les anglais devisaient en français). Tous les rédacteurs sont les bienvenus, dans toutes les langues du monde, mais restons raisonnable, si on s'en sort pas dans ces deux langues-là, c'est pas en serbo croate qu'on va y parvenir.

    Alors voilà de quoi est-ce qu'il s'agit :

    "Club Misogyne Paris" pour les sans-genre qui n'occultent pas leur mobile incestueux derrière la drogue, l'alcool, le sexe, le rockn'roll, les rêves, le cinéma, le mariage, les élections, la presse quotidienne, Obama...

    En un mot Oedipe n'est pas le bienvenu ici, où on tente de penser différemment, pas comme des Allemands ou des Québécois.

    La liste n'est pas exhaustive, perso j'y enlèverais rien et je ne pourrais que décliner en arborescence (faut que je pense à pas employer ce genre d'expressions mièvres, je voulais dire: développer l'efflorescence).

    Voilà, donc, quand ta copine, ta meuf, ta bourgeoise te prend la tête avec sa life et votre relation, tu sais où aller te détendre. C'est complètement gratuit en plus, pas comme cette kulture de merde qu'on te fait un payer un max et qui ne fait que précipiter ta mort.

    Mysogynie à part, le sage avait raison, quand elles ne nous les caressent pas, elles nous les cassent. Et si elles s'emmerdent en baisant c'est quatre vingt quinze fois sur cent parce qu'elles sont en train de penser à comment nous les casser... différement!


  • Soleil martien


    Bon, quand tu lis Shakespeare, le théâtre tu sais ce que ça vaut quand c'est du grand art. Mais comme tous les arts majeurs, il a ses arts mineurs, en particulier la mise en scène. Ta propre personne étant la première disponible, tu t'en empares pour faire marrer tes potes. Ce serait un des traits de l'hystérie : la théâtralité. Il y la perversité aussi, distincte de la perversion, ce qui arrange tout notre petit monde, bien entendu. A ce que je sache, on en compte une douzaine, de ces traits de  l'hystérie (des traits ! la linguistique est passée par là !). Mais ces deux-là suffisent déjà à se faire une fausse idée.


    Rien qu'à lire les blogs ont voit déjà que la mise en scène est quasi systématique dès qu'un pecus se met à écrire régulièrement. Ça donne le meilleur et le pire.

    Exemple, cet après-midi sous les premiers rayons de soleil de l'année, (pour moi l'année commence avec l'équinoxe de printemps, comme les anciens) en regardant fondre la neige, dans la chaise à bascule passée au jardin, contre un mur au sud, à m'accorder une sieste bien méritée et un livre pour meubler entre les nuages, je me suis laissé aller à m'interroger : qu'est-ce que c'est que cette gymnastique littéraire, pour qui, pour quoi ? serais-je en train de d'adoucir mon ennui ? Ha ! quelle honnêteté ce Fodio (quel pédé oui !) ! Tiens je parie qu'il va nous dire qu'il connait plein d'autres choses pour agrémenter l'existence, les jeux de guerre, les dévidés, la sodomie des femmes, l'instruction des enfants, l'entretien de la famille, la pêche, le jardin, et même, oui, même le barbecue. Mais non, c'est pas ça, c'est jamais ça avec lui.


    Sous le soleil de Mars, donc, je lisais le livre d'un certain René Daumal. Ouvert au milieu je découvrais l'affaire du poète qui écrit blanc ou noir, j'aurais dit chaud ou froid, Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche qui écrit en prose, et qu'on arrive à comprendre parce qu'il ne fait pas des jeux de mots à tous les vers, et je me suis retrouvé catapulté dans l'enfance. Soudain le vent a changé de voix, les nuages se sont réglés sur le soleil, et j'ai basculé en arrière, la lune était au zénith, œil à demi fermé, la prévisibilité du monde m'est apparue rassurante, comme la rime ou la métaphore attendue.

    En rentrant je me suis remis d'aplomb avec du sérieux :

    Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. 21:8 Apocalypse



  • Le géniteur du génitron


    Je sais que les gens ont pas toutes les raisons de rigoler en-ce-moment, mais j'ai encore jamais entendu un juif dire à sa femme : on serait un peu moins mal vu si tu nous faisais un peu plus de Karl M. et moins de Bernard H. L. la mama, steuplé !

    L'humour juif, merci, je reprendrais bien un peu de Onfray, d'après lui, Jésus lui-même aurait fait partie du complot juif! ou il n'aurait pas existé, c'est selon...


    Faut admettre, voter Le Pen après deux lignes de BHL, c'est de l'orgasme en pot pour les longues soirées d'hiver, enfin c'est ce que me laissait entendre la Baronne...


    Sinon le Genitrix (de Mauriac) est moins bon que le génitron (de Céline) mais meilleur qu'une madeleine génitale imbitable (de Proust).


    Mais qui est donc l'auteur, parmi ces trois littérateurs, de ce qui suit (la solution est à la fin pour les pleutres et les ignares).


    « Il magnifiait, écrasait, imprévisiblement d'ailleurs, par la parole, la plume, le manifeste, la confidence. Il avait un jour, entre autres, c'était à Toulon vers 1891, provoqué un début d'émeute par une série de causeries sur "l'orientation tellurique et la mémoire des hirondelles"... Il excellait, c'est un fait, dans le résumé, l'article, la conférence, en prose, en vers et quelquefois, pour intriguer, en calembours... "Tout pour l'instruction des familles et l'éducation des masses", telle était la grande devise de toutes ses activités. (...) Il aurait fait par conviction passer toute la foudre entière dans le petit trou d'une aiguille, l'aurait fait jouer sur un briquet, le tonnerre dans un mirliton. Telle était sa destinée, son entraînement, sa cadence, de mettre l'univers en bouteille, de l'enfermer par un bouchon et puis tout raconter aux foules... Pourquoi ! et comment !... Moi-même j'étais effrayé, plus tard, vivant avec lui, de ce que j'arrivais à saisir dans une journée de vingt-quatre heures... rien que par bribes et allusions... Pour Courtial rien n'était obscur, d'un côté il y avait la matière toujours fainéante et barbaresque et de l'autre il y avait l'esprit pour comprendre entre les lignes... »


    « Les bureaux du « génitron » en fait de terrible désordre, de capharnaüm absolu, de pagaye totale, on pouvait pas voir beaucoup pire... (...) un méli-mélo tragique, tout crevassé, décortiqué, toute l'œuvre à Courtial était là, en vrac, en pyramides, jachère..."


    Roger-Marin Courtial des Pereires est le nom qu'a donné Céline au personnage inspiré de Raoul Henri Clément Auguste Antoine Marquis, dit Henry de Graffigny, né le 28 septembre 1863 à Graffigny-Chemin et mort le 3 juillet 1934 à Septeuil, écrivain polygraphe français.


    L'extrait est de Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit.


    Le génitron c'est ce qui attire les fous comme un aimant, et qui les conduit au génocide (c'est un journal pour inventeurs dans le roman).  Tout pour l'instruction des familles et l'éducation des masses. La religion du progrès qui entrave la science et les arts. Céline savait bien que Capharnaüm est la ville où Jésus fut assailli par une foule hétéroclite de malades faisant appel à son pouvoir guérisseur.


  • Silence radio


    Ça faisait une éternité que j'avais pas écouté la radio, pas le réflexe. L'autre matin je mets France inter via le net. Deux infos m'agressent d'emblée, deux assassinats de femme( (Après on dira que c'est moi !). J'entends parler de manipulateur ' l'affaire Viguier', les journalistes adorent parler de  manipulation, on parle bien de ce qu'on connait bien, et pas de l'actualité, la vraie, faut quand même pas déconner. Ce sont des faits divers qu'on monte en épingle, genre : ha oui ! c'est la journée de la femme, ha ben ça tombe bien ! (Voilà comment les journalistes travaillent, choisir les sujets en « harmonie avec l'actu », la caisse de résonnance médiatique fera le reste, les cœurs de la télévision, de la radio, de l'armée de rapporteurs de mes deux qui sont aussi aveugles que les évènements qu'ils racolent.)

    Ha ! mais voilà le foot, une seconde, je coupe. Pas eu le temps, 150 millions de budget pour les Lyonnais  et le triple pour les pingouins, cherchez pas où va votre  pognon. Et bien sûr la chanson qui va avec : jeu de main jeu de vilain mais jeu de main jeu de malin ». Je vois pas la nécessité du 'mais'. C'est une astuce bien sûr. Pour si les mômes feraient le rapport entre vilain et malin. Les fumiers, le pire c'est qu'ils le font même pas exprès, c'est bêtise pure et bien partagée. Le bon sens pascalien, on le voit, est le non-sens, l'insane répandu, la devise des hypocrites orgueilleux. « Faites semblant de croire et bientôt vous croirez » C'est comme ça qu'on fini par dire des conneries plus grosses que soi, té ; en toute bonne foi ?  ça reste à voir !

    Passons, après la journée des femmes, ce sera la journée des pédés, Yves saint Laurent. Je me rappelle soudain pourquoi j'écoute pas la radio (j'ai pas la télé non plus).

    Puis ça parle de tour de vis antisocial dans la page politique, Xavier Bertrand, Fillon parle de science fiction a propos de sa position présidentiable. Comme dirait Blier dans les Tontons flingueurs, 'moi à ce niveau-là,  je correctionne plus, je dynamite, j'explose, je disperse, je ventile !' C'est de l'Audiard n'est-ce pas, toujours très pittoresque. C'est pourtant tout bien ce qu'il faudrait faire.

    Et que ça parle des agences de notation, des agences de voleurs légaux, mais c'est en Amérique rassurez-vous, pas de ça chez nous. Morale tendance athée chrétien républicain un peu marchand d'arme sur les bords, mais pas voleurs dans l'âme.

    Info capitale : YSL n'aimait pas la mode. Tiens tiens. Le faux cul ! Je suis le dernier grand couturier disait-il, et de défiler à Beaubourg en 2002, le passage au cimetière en somme. 'J'ai conscience d'avoir fait progresser la mode de mon temps et d'avoir fait progresser... (je sais plus quoi pour les femmes, leur bon goût ?! pas leur esprit quand même ! )... 'la mode passe' disait-il 'mais le style demeure'. (Voilà, ni goût, ni esprit, une morale, un style ! Tu parles. Le style pédé hypocrite, oui. On devrait être tenu, avec une telle morale, de demeurer sous la tutelle des furies boulimiques ou anorexiques que ça éduque tiens ! (Freud qui inverse tout dirait que ces gars-là nient le sexe de leur mère à la base. Il vaudrait d'ailleurs mieux s'étendre sur la manière d'aborder l'homosexualité chez Freud qui la relie, uniquement sur la foi de la parole, de la langue, sans jeu de mot, à la paranoïa. (le fameux « c'est elle que j'aime » J'ai connu des invertis qui se croyait virils s'ébranler devant un tel rapprochement, homo/parano, mais ça ne prouve rien. Il est évident que l'attirance pour la mort engendre de la paranoïa, n'importe qui sait ça. Ce qu'on rechigne à dire, ce que Freud ne pouvait pas dire, c'est le fondement incestueux de cette attirance, son fondement féminin, naturel. L'homme qui aime trop sa mère, c'est le moraliste. Et la paranoïa secrète de la morale. Faites vous-même le lien. La féminisation du monde c'est la globalisation, c'est le totalitarisme dans sa forme la plus achevée, celle de la mère, celle à qui on doit la vie. Ne serait-ce pas plutôt qu'on lui doit surtout la mort ? (la question, bien entendu, ne s'adresse pas aux fistons à sa mèmère, qu'ils soient juifs, chrétiens, musulmans ou athée/démocrates.)

    Bon allez, du nerf, je coupe c'est trop de n'importe quoi, je préfère encore les actualités de Google.

    Ha ! pas le temps, quel rythme ! pour finir, on apprend que Pierre Berger est l'homme d'affaire de la société Berger YSL. Et voilà comment ces hypocrites font semblant d'arrêter de faire du fric. Prennent vraiment le monde pour un trou sans fin, je-vais-et-je-viens et je t'en bouche un coin.

    Quelques flocons dans le Berry et sur la Bourgogne, il est sept heures, vous écoutez France Inter.

    Le journal de Mathieu Séraphin:

    A la une, un rapport accablant sur le flash ball

    Le procès Viguier :

    Les régionales.

    Intempéries dans le sud et le fooooooot. Rien à fooooooooouttre ! Cette fois je coupe.

    Une bonne nouvelle, le silence est toujours indexé sur l'or, je me sens plus riche d'un coup.


  • Un homme de parole


    Comme j'ai fait le tour du rayon littérature de l'Institut, j'ai attaqué le rayon histoire et je suis tombé sur un bouquin d'un écrivain/journaliste, ça se slashe, que je sache, Marignac. Et je suis tombé, encore ! sur une amie qui m'en parlait (private joke), disons qui l'évoque, pour être juste, dans son blog (et c'est pas encore une amie). Je plaisante pas, pas de hasard quand je tombe. N'empêche c'est ce que j'ai lu de mieux dans le style Kulture des philologues blogueurs intermittents. Comme je lui ai promis d'en parler, ça tombe bien, je l'allais faire.


    Ce Marignac est un infiltré, un écrivain de terrain. On croit comprendre à demi mot qu'il aurait été un junkie (son pote journaliste russe en préface est plus clair : cette histoire est complètement épurée de toute sentimentalité facile, elle coupe au contraire au plus court : la sombre vérité, brutale, et parfois hilarante. (sombre, brutal ET drôle, je cherche encore, sans rire) donc il nous raconte comment il s'en est sorti mais c'est pas très clair, en tous cas il enquête désormais et sa couverture, car on sent bien que le type est plutôt un artiste, il a du recul, il travaille le corps social de l'intérieur . En fait c'est un artiste contemporain, un socialogue (... !). J'ai pas lu ses romans, à dire vrai.

    Je vous épargne les préjugés linguistiques comme quoi le russe est une langue épatante, (la langue la plus épatante ne vaut jamais celle qu'on connait bien) j'en viens au vif. A l'occasion de la révolution Orange, les « bouseux » de la campagne était venus faire peur aux parlementaires et pratiquant le repos du guerrier à outrance selon les critères des Réducteurs de Risques (sociaux) en lutte contre le Sida-drogue et qui se télescopaient avec le sida-sexe, fantasmes évident de narcosociologue,  sur la place de l'indépendance. Ça distribuait donc des capotes en guise d'action, de combat, de lutte, bref.  A la page 52 donc, je cite :

    une fois la passion révolutionnaire tombée, après la décision de la cour suprême, et dans les semaines qui suivirent les élections, les réflexions (je souligne parce que c'est bien un langage de gonzesses ça, nanananère, ma mère disait toujours ça, ma sœur aussi, des réflexions, ça se tue à coup de réflexions les gonzesses, en réalité c'est des grincements de dents sans valeurs) des habitants de Kiev (là on est dans un roman médiéval) à l'égard des bouseux qui occupaient le centre ville se feraient (style journalistique improbable) de plus en plus acide [...]

    -         Ils ne vont plus jamais partir ?

    -         Ils sont dans le plus beau quartier, le terrain immobilier le plus cher de Kiev, là où il y a toutes les boutiques et toutes les filles. (le plouc n'a qu'une envie c'est d'être aussi con qu'un bobo et de baiser des putes ! les filles, quelles filles ? impossible de faire la différence entre une actrice et une mère de famille parmi les ukrainiennes qui déambulent Krechatik!)

    -         Chez eux ils sont chômeurs. Ici ils sont révolutionnaires.

    Je comprenais leur grogne. Je n'aurais pas aimé que sous prétexte de sauver la république, l'Auvergne prenne ses quartiers d'hiver devant l'Arc de Triomphe.


    C'est là qu'on a envie de le saigner comme un goret l'écrivain/journaliste slashé de mes deux. Imbécile de petit bourgeois cynique, janséniste, travailleur social, étron de merde de pédé de littérateur d'enculé de sa mère. Dieu sait que je suis un soldat du Christ bien trop gentil, je suggère juste une capsule pour Uranus pour les produits cultuels de ce genre, un business trip comme disent les Russes ! En orbite les goupillons politiques, les oranges fanions de Satan, les adorateurs de la société et du Léviathan, suppôts de l'antre du malin, du royaume de Dieu sur la terre, les vrais derviches tourneurs. Le journalisme a tué la littérature aussi sûrement qu'il tuera la presse écrite et toute la poésie des blogueurs. Bon débarras! la littérature renaitra plus tard et en d'autres nations , c'est l'Hélicon.

    J'ai pas besoin d'en lire plus pour savoir que ce trou du cul fait des romans du genre voyage au bout de l'anus. Un style à faire frémir les âmes compulsives de nos bonnes citoyennes en mal de culte , que dis-je, de kulte ! Ussh ça frise le mauvais goût.


  • Mother fuckers


    Pas facile de désapprendre toutes les conneries qu'on enseigne dans les écoles de la république. On est là  à la critiquer tout le temps, cette pôvre république, mais on finit toujours, le diable m'entende, par lui pardonner parce qu'on n'a rien à lui opposer. Et pour cause, l'esprit critique, qu'elle enseigne, soi-disant, tu parles !  les Profs enseignent surtout, par la méthode Coué si nécessaire,  à ne pas se l'appliquer à soi-même, cet esprit critique. Retournez-le comme vous le voulez, la grande leçon de complaisance de Voltaire a viré au cynisme en France. (tous prêt à mourir pour la liberté d'expression, mais de mort indolore, de mort métaphorique, de mort rhétorique, de mort cinématographique, de mort en technicolor, en rêves quoi!)

    L'esprit critique, c'est bien, mais pas dans mon jardin. C'est bien naturel. Résultat on laisse le pouvoir à des chacals qui vous donnent tout le loisir de critiquer ce que bon vous voulez, sauf ce droit à la critique justement (des fois que ça les concerne en passant). Transformer l'esprit critique en principe de base, c'est confondre (volontairement !) l'outil avec l'objet à étudier. Autant dire que ça fait pas avancer le chimilibili, ça le ferait même reculer...La vraie critique, les imbéciles vous le diront  tous, c'est pas pour eux, ils sont au-delà, dans leurs rêves, car bien en deçà, en réalité. Passer  la loi naturelle de la propriété, ça non ! ce qui est à moi est à moi, j'adhère à ce qui est à moi et tous ceux qui n'adhèrent pas ont le droit de vivre tant qu'ils me laissent adhérer, la critique d'accord mais pas négative je vous en prie un peu de décence, passez-moi la colle et le dissolvant, merci.

    Tous les blaireaux vous le diront dès que vous creusez un peu vous tombez sur des souches. En général, ce sont des parangons de vertu démocratique et républicaine, des bigots athées libertins qui s'imaginent révolutionnaires parce qu'ils baisent des putes qu'ils prennent pour des maitresses d'école et vice versa.

    Des souches de nique-ta-mère.


  • Hymne

     

    Bénis le Seigneur, ô mon âme, pour toutes Ses merveilles à jamais

    Béni soit Son nom, car il a sauvé l'âme des Pauvres.

    Il n'a pas dédaigné l'Humble, Il n'a pas non plus oublié la détresse

    des opprimés

    Au contraire Il a ouvert les yeux sur l'Opprimé et, tendant l'oreille,

    il a entendu

    le cri des orphelins. Dans l'abondance de Sa Miséricorde, Il a consolé

    les Humbles et Il leur a ouvert les yeux pour qu'ils aperçoivent Ses

    voies et les oreilles pour qu'ils entendent

    Son enseignement.

     

    LES MANUSCRITS DE LA MER MORTE (trouvés en creusant par des blaireaux bédouins en 1947)

    4 Q 434, 436, Hymne des Pauvres, Frag. 2,

    Col. 1, EISENMAN (3, p. 295)].

     

    Après ça, si vous êtes sourds, que voulez-vous que j'y fasse ?

     

  • Retour de Cythère


    Si vous insistez, je veux bien vous parler de mes petites affaires, bien que ça soit guère le genre passionnant. Tant que vous me demandez pas de vous parler d'amour ! c'est à cause de mon pote. Veux plus entendre parler de ces pédés qui harcèlent les dieux licencieux, ces écrivailleurs qui tâtent du cul d'Apollon, allez pas le tanner avec ces branleurs affables qui tiennent des blogs bouleversants au contenu réservé aux adultes, plein de mots et de sentiments libidineux. C'est qu'il y croyait à l'amour, il s'était fait tout petit devant sa belle. Faut dire qu'elle était belle, presque autant que Pandore. Hélas il est tombé sur une salope, une moins que rien chu de la lune, sans passé ni avenir, une femme moderne quoi, le genre qui part avec la machine à laver et l'armoire de toilette. Elle lui a laissé tout ce qu'elle a pas pu embarquer dans le taxi. Ce con l'a attendu des jours et des mois, des années même, et si ça se trouve, il l'attend encore. Tu parles, ça vit de rencontre ce genre de garce. Elle aura vite trouvé un autre couillon à pomper.


    Or il advint que ce branque d'Eros et ses amours sans choix, communes, homo ou hétéro, plutôt le corps que l'âme, fit en sorte que l'agrément qu'en retira mon pote le porta au dérèglement. Voilà ce qu'il me disait mot pour mot naguère et que j'avais pris la peine de noter :

    Je la baise un coup le matin parfois pendant deux heures, puis un coup vers l'apéro, ensuite pendant la sieste, et le soir devant la télé je lui bouffe la chatte en pensant aux abricots confis de ma grand-mère. Avant de m'endormir, je prie le bon dieu des couillons de faire en sorte que ça recommence pareil le lendemain. Ça fait des années que ça dure. Le dimanche à l'heure où elle va à la messe avec sa mère je me branle sur mon ordi sur les photos qu'une blogueuse m'a envoyé. Je peux dire que c'est un progrès, tu crois ?


    Il m'avait montré les photos, j'avais trouvé ça trop symétrique. Un abricot, frais, tu peux te le tourner dans la main, c'est rarement symétrique, mais si tu le prends en photo tu peux créer l'illusion en te fixant sur un angle. Un cul c'est pareil. Bref, complètement scotché mon pote ! Depuis que le septième ciel lui est tombé sur la tête, il supporte plus que je parle d'amour (Sa blogueuse s'est avérée être un trave. La photo quel piège à con !). Ça tombe bien, j'ai rien à en dire de plus, les tarentules, les crotales et les vipères en seront pour leur frais sous leurs marguerites. Mais pour l'amour de dieu, Bratt, secoue la poussière de tes grôles ailleurs que sur mon tapis, ça laisse des traces !




  • Message in a bottle


    "J'aimerais vous livrer un message : s'il vous plait, faites tout ce que vous pouvez pour dire au monde ce qu'on nous fait, à nous les blogueurs, afin que d'autres blogueurs ne soient pas contraints de subir la même violence."


    Quelle misère chaque fois que je fais la tournée des blogs. Y a les bonnes gagneuses quand même, un peu exotique que ça paie le déplacement, surtout les jeunettes avec leur bédés (c'est encore comme ça qu'elle dise le moins de conneries, j'ai remarqué, quand elles dessinent !). L'exotisme quelle arme de destruction fatale ! Moi je la mettrais au service de Dieu si j'étais une femme. Ou d'un seul homme pour toute la vie. J'aurais honte de me donner deux fois, on est exotique qu'une seule fois, comme Madame de Mortsauf que les crétins féministes essaient de faire passer pour une victime de la religion. Alors qu'elle est victime de sa vanité et elle a l'heur de le savoir, elle, c'est pas une allumée du fessier abdos de centre de fitness qui confond le sexe avec le cul. Henriette est une femme qui se respecte comme il y en a pas une sur les vingt-quatre qui meurent toutes les minutes, à cet instant précis, et personne ne fait rien, quelle odieuserie !. "J'aimerais vous livrer un message : s'il vous plait, faites tout ce que vous pouvez pour dire au monde ce qu'on nous fait, à nous les femmes, afin que d'autres femmes ne soient pas contraintes de subir la même violence."


    Quel charivari, quelle boucherie quand on visualise les statistiques. La plupart des gens s'en foutent, ça leur foutrait le tournis. Du moment qu'ils ont une trentaine de braves cons qui tournent autour de leur persona grata, les hommes sont parfaitement heureux de nos jours. Il semblerait, selon des chiffres tout récents que je possède, de source sûre, que les blogueurs ne figurent pas parmi ces hommes parfaitement heureux en dessous de quinze amis, le blogueur qui a deux potes dans sa liste d'amis, pour lui, c'est le cordon du clavier la prochaine étape, pathétique. Mais moi je les aime bien ces paumés de leur mère. Ils me renseignent sur la pédérastie ambiante, label sous la mère, le blaireautin sous la blairelle.


    La baronne qui s'est fait installer l'internet, me demandait hier, ce qu'était un blaireau. J'ai fait l'hypocrite à moitié, c'est un animal qui a mauvaise réputation depuis un certain rally automobile reliant Paris à une capitale nègre (Je lui faisais le coup de la voix off à la baronne, je peux pas lui dire toute la vérité non plus!), mauvaise réputation très injustifiée, pas oublier que les services qu'il rend en détruisant une foule de mollusques, de rongeurs, de batraciens, de serpents, et d'insectes divers, il dévaste les nids de bourdons, et de guêpes, l'emportent largement sur les dégâts qu'il peut causer. Car oui il creuse, des galeries sur des hectares, et le plouc ça l’inquiète un voisin aussi prêt de sa charrue, comme qui dirait à l’étage en dessous. Un blaireau adulte peut ingurgiter annuellement près de cent kilogrammes de lombrics, Il apprécie aussi beaucoup les grenouilles et les vipères dont le venin ne lui fait aucun effet. Capital, ça, ma baronne, il est immunisé contre le péché originel, pensez ! Là, elle me croyait plus qu'à moitié, la baronne, le serpent ! que j'insiste, le diable que diable ! elle comprit : je poursuivis. Lors des périodes de disette, ce controversé compère peut juger bon de prélever quelques épis de maïs dans les champs, mais cela reste très exceptionnel, et ne concerne pas d'autres cultures comme le blé, l'avoine, ou la vigne.* Pour terminer, Baronne, le blaireau a une coutume étrange, ce sont les vieux qui quittent le terrier et non les jeunes comme dans la plupart des espèces.

    Quelle horrible chose que cela, s'est écriée la Baronne qui a casé sa fille unique à 18 ans.

    C'est la loi de la nature, que je lui ai répondu, celle que dieu a voulu pour nous enseigner le chemin qui mène à lui.

    Mais, dites-moi, cher Fodio, vous n'êtes quand même pas un blaireau, personnellement vous-même? Qu'elle me susurra avec véhémence en s'agrippant à mon bras comme à la vie. Je la soupçonnai dès lors d'être aller envoyer Igor lire des racontars pas frais sur mon compte.

    Qu'allez vous penser ma chère ! Toutefois, pour vous parler tout-à-fait sincèrement, sans l'aide de dieu, je me demande si je le serais pas un peu devenu...

    Sans l'aide de dieu mais avec son soutien hautetfort quelle m'a coupé en souriant.

    C'est là que j'ai compris qu'elle cherchait à placer son beuze depuis le début la daronne. J'ai pensé que ce serait manqué à la charité de lui répondre, j'ai fait sonner mon portable pour couper court. La baronne, qui déteste cet appareil diabolique, m'a tourné le dos illico et j'ai pu lui répondre, in petto, in téléfono, et a propos, que je me passerais bien des pubs de merde que sa famille, et les deux cent autres qui l'accompagnent, me refourgue sur ce foutu blog hautetfort pour payer les notes du château. La baronne, comme toutes les femmes, aime bien son salon et le foutu capital qui l'entretient. D'ici qu'elle tienne un blog pour dénoncer les humiliations faites à sa famille par les jacobins, je vois ça d'ici : "J'aimerais vous livrer un message : s'il vous plait, faites tout ce que vous pouvez pour dire au monde ce qu'on nous fait, à nous les baronnes, afin que d'autres baronnes  ne soient pas contraintes de subir la même violence."


    *respectivement les fonctionnaires les financiers, les acteurs, les hommes politiques, les pédés, les vieilles baronnes qui vivent du capital, les poètes, les grenouilles de bénitiers athées, les vipère laïques, l'argent, la drogue le rock&roll.


  • Misoculogie

    Ambiance village sur l'internet des blogs pour mézigue. Sans me vanter j'ai plutôt mauvaise réputation. Ha, si certaines pouvaient m'attraper par les couilles, comme dans du Zola ! En attendant, typique de l'hypo-crise d'hystérie, me taxer de misanthrope, sachant que je suis ouvertement misogyne. J'ai l'heur de bien connaitre le trou pourri où se trouvent ces trucs tordus que les gonzesses et leurs pédés vont chercher pour me salir la réputation. Me faire passer pour un misanthrope, c'est se payer sur ma bête le luxe de se faire passer, ces branquignoles, pour des hommes. Sous prétexte que je creuse, me prennent pour un blaireau, les cunnilinguistes !

     


  • Trisogynie


    J'ai arrêté d'acheter des livres. D'ailleurs j'achète plus rien, marre de cracher des arêtes d'oiseaux. Du sucre, de l'huile et basta ; j'attends qu'on arrête d'en faire pour arrêter d'en acheter mais pour le reste, j'ai pris les devants. Ça tombe bien, Nabe a écrit un livre qui s'appelle 'L'homme qui arrêta d'écrire'. Je me sens en phase pour le coup. Reste que si je dois acheter les dernières œuvres de tous les hommes qui arrêtent de faire des œuvres, j'aurais plus un sou pour les pauvres. Parce que ça fait pas un doute qu'ils vont tous s'y mettre. Ça sent la fin de la fin tout ça. Le gazouillis de l'agonie.

    Comme ça me rend un peu nerveux j'irais bien me détendre dans un club misogyne. Attention, pas un truc pour pédé nitchéen ou freudien élevé sous la mère en quête de vengeance, non, plutôt un de ces endroits sérieux où les femmes sont admises, celles qui savent se taire, comme les hommes. Où serait la détente, sinon ? De plus, quand on sait bien se taire, on parle trois fois mieux.

     


  • Baise toujours


    Je crois que n'importe quel abruti mâle ou femelle est capable de comprendre que la fascination pour le sexe est liée à l'attirance pour le vide. Une sorte de vertige qui  impressionne tellement la première fois que le reste de la vie devient la recherche proustienne du trou perdu. Les gonzesses appellent ça le graal, question de terminologie. Avant qu'elles comprennent qu'elles courent après leur mort, de club de fitness en club de rencontre, il est déjà temps de mourir. C'est vrai que la vie passe plus vite quand on baise. Aujourd'hui la vie consiste à essayer d'en finir le plus vite possible avec la vie. C'est comme ça qu'ils en viennent à dire qu'il faut faire l'amour à la vie. Baiser la vie ou la mort, quelle différence ?

    C'est toujours la vie qui te baise.

     


  • Lents demains

    Ouf, j'ai réussi à passer la journée du huit mars sans voir une seule gonzesse, même sur internet dont j'étais déconnecté opinément, un vrai bonheur !  Finalement ça devrait être toute l'année la journée de la femme, avec juste une journée pour les hommes, celle que je consacrerais aux femmes.


  • Repêchage


    J'aime assez asticoter la blogeoise; un peu comme quand gamin j'aimais taquiner le gougeon sur les bords du Dniepr. En vérité, je me rends compte que je suis à la recherche de la réincarnation de Simone Weil, dingue ! (Si possible en version ukrainienne, pour le physique un peu, mais surtout pour la niaque.) Oh ça, je me fais pas d'illusion, des gonzesses comme ça, on en compte même pas une par siècle, depuis Jésus. Dur constat, mais faut croire que ça rend la pêche plus passionnante. A ce stade, ça n'est plus de la patience, c'est de l'abnégation. Pour te conforter, je peux te dire que le vrai pécheur, c'est celui qui préfère le temps de l'attente. Il doit savoir qu'il est là pour autre chose, pas que du menu fretin. Peut-être bien que c'est pour admirer le ciel en gardant les yeux baissés. Joindre l'aimable au salutaire en somme.




  • Anti misanthropie


    L'or, l'argent, quel bel et bon outil entre les mains d'un homme charitable, quelle saloperie entre celles d'un damné ! Quand on voit, à force de pub, les cochonneries que proposent les marchands à ceux qui ont de l'argent, on a de la peine à croire que des hommes peuvent accepter de vivre en esclavage pour ça. Pourtant je crois qu'il n'y en a plus pour longtemps. Le dégoût commence à percer. Un beau matin les hommes se réveilleront et ils commenceront par foutre un coup de pied au cul de leur bergère quand elle leur dira qu'il faut changer la machine à laver ou la télé. Puis ils iront casser la gueule à leur patron ou leurs clients, et enfin, dans une église, seuls devant le Christ en croix, ils se repentiront et ouvriront enfin leurs yeux d'esclaves. Ils comprendront qu'entre Dieu et César il n'y a pas photo. Il ne leur restera plus qu'à partir sur les routes et prêcher la bonne parole de cyber cafés en cyber cafés sans obtenir la moindre charité. Leur chemin de croix sera d'autant plus méritoire qu'il sera bien plus difficile que par le passé ou la charité se pratiquait bon an mal an. Ils ne croiseront que des égoïstes, les mêmes qu'ils ont été. Des mecs hétéros, normaux, avec un boulot et des enfants, des mecs qui ne vivent que pour eux-mêmes et leur gènes. Ils devront supporter les sarcasmes de ces pauvres types, ils auront à cœur de prier pour eux, ils leur pardonneront comme ils savent qu'ils seront eux-mêmes pardonnés pour avoir été aussi cons que ces branques. Et quand enfin viendra le temps, qui est si proche, que le Léviathan tout gonflé de son importance se dégonflera comme une baudruche, ils remercieront le ciel de les avoir remis sur le droit chemin. Ils pourront alors commencer une nouvelle vie auprès d'une nouvelle humanité.


    Ce n'est pas un rêve que j'ai fait, c'est une vision que j'ai eu ce matin en me levant et en voulant répondre à un adorateur de la lune qui me demande qui je suis en des termes pas très orthodoxes (t'es qui en fait ?)

    Alors je lui réponds ici, je suis un homme qui supporte de plus en plus mal de vivre dans un monde régit par des gonzesses et des obsédés sexuels, un monde d'esclaves lubriques, un monde d'enfants pervers uniquement préoccupé de leurs plaisirs charnels et qui se payent de mots quant il s'agit de la misère du monde pour donner plus de valeurs à ceux qu'ils utilisent pour parler de leur déviance sexuelle.


    Si comme je le pense le sexe est une perte de temps alors on peut dire qu'ils capitalisent sur le diable. Tant qu'ils en sont à cogiter sur leur coït, ils lui foutent une paix royale, et lui, et son armée bien entrainée n'a pas lieu de s'inquiéter et peut continuer à se démener comme un beau diable en déversant sur la masse d'esclaves, de plus en plus statique, l'illusion qu'elle avance vers le progrès et la liberté.

    Faut vraiment avoir de la merde dans les yeux pour pas voir à quel point il encule les trois quarts de l'humanité vivante. Et que ces derniers fassent semblant d'y trouver du plaisir est un raffinement qui le désigne pour ce qu'il est entre autre : un misanthrope aigri.


    N'allez donc pas vous réfugier dans votre tour d'ivoire, O vous qui l'avez vu, vous ne feriez que rejoindre son camp !

    Pour ceux qui me trouveraient naïf de croire au diable, je leur demande de réfléchir honnêtement à quel genre de choses ils croient, eux. Au bonheur de l'humanité ? A celui de la planète ?  Aux deux en même temps ?

    Autant prendre le monde pour une boule de cristal dans la main d'un père Noël.


  • L'homme invisible

     


    les gens qui entament avec moi une discussion sur le ton de l'affrontement me fatiguent d'entrée. S'affronter, chercher de suite le rapport de force, se jauger l'un l'autre... quel intérêt ?


    c'est, semble-t-il, un homme qui dit une chose pareille. C'est peu dire que les hommes n'en sont plus et qu'ils sont « fatigués » de l'être. Plus ils réagissent en gonzesse plus ils se croient malins. Et il faut bien dire que c'est très malin en effet, au sens satanique évidement. Comment voulez-vous que ce genre d'homme soit capable d'autre chose que de bouffer de la chatte ? dire que c'est le même type de pédé qui règne sur le monde depuis plus de deux mille ans. (Avant ils avaient l'excuse de ne pas savoir)


    Tout ce que je pourrais dire ne saurait exprimer réellement l'empreinte que cette lecture me laisse ce soir.

    Ça, en revanche c'est une vraie parole (empreintée) de gonzesse.


    Entre lune et origine du monde, les envolées coquines d'un rêveur friand de jeux de mots... et de langue...

    Et une parole d'homme, le même genre que le précédent  mais à un stade plus avancé de lesbiennerie. (et d'ailleurs qui sait si ce n'est pas une femme qui se déguise en homme, les lesbiennes comme les pédés sont très friands de ce genre de perversité, mais peu importe me direz-vous peut-être !)


    il faut avoir l'humilité que personne n'est un être binaire.

    Parole de femme, d'ailleurs complètement imbitable !


    Celui qui profère à tout bout de champ des vérités sur l'autre devrait, avant toute chose, se regarder dans le miroir et s'y voir.

    Parole de femme qui se voudrait homme et qui ne veut pas retourner le miroir. Mise en abime inévitablement stérile. (un homme ne peut pas dire une chose pareille sans honte, car il est évident que dire ceci sans se l'appliquer à soi-même tient de la plus haute hypocrisie) On a envie de lui répondre : charité bien ordonnée...


    Ce n'est pas la femme qui est visée dans mes propos mais le principe féminin. Je ne dis pas ça pour tenter d'apprivoiser le ressentiment de la gente féminine qui me colle au cul depuis que j'écris dans ce blogue.

    Quand j'entends des femmes qui parlent des hommes, j'essaie honnêtement de déceler la vérité, que cette vérité me concerne ou pas. Or je n'en ai pas trouvé pas la moindre trace jusqu'à présent.

    Je ne suis pas tombé du ciel. Je viens d'une époque où il y a du mérite à être un homme. C'est-à-dire tout le contraire d'un obsédé sexuel efféminé. Non pas que le sexe soit intrinsèquement bon ou mauvais, c'est surtout une perte de temps, et le temps perdu ne se rattrape pas.

    La plupart des hommes depuis toujours se sont laissé guidé par leur bite. On a vu où ça menait. De la transformation de quelques millilitres de sperme en fleuve de sang.

    Ce qu'une femme ou un homme féminisé ne peut pas comprendre c'est l'essence politique de la sexualité. Le tout sexuel de Freud est un tout politique tout aussi gerbant. Ce serait par exemple une vérité de dire que les hommes politiques nous baisent depuis toujours.

    En conséquence, tout homme qui se respecte se doit de dénoncer le sexe et la politique comme étant une seule et même chose, dont il est urgent de se débarrasser toutes affaires cessantes.

    Se débarrasser du sexe est bien entendu ridicule, j'entends juste ne pas en faire le principal centre d'intérêt de la vie. Ça lui redonnerait même un peu d'attrait. L'homme qui professe ce genre de chose aujourd'hui est totalement invisible. A croire que le sperme a fini par voilé tout sens critique dans le cerveau humain.


    Les propos que je cite ici sont authentiques et il est probable que ça va se plaindre à sa maman. La plate forme qui héberge ce blog me le fera savoir et je ferai disparaitre cette note.

    Le seul reliquat de liberté qu'a laissé la politique est de raconter ses exploits sexuels ou ses non-exploits, pour le reste, toute critique de ces attitudes demeure impossible. Qui a parlé du voile islamique ? le voile d'impudeur dont se servent les femelles laïques de droite comme de gauche pour dissimuler qu'elles nous baisent est invisible et pourtant dès qu'on le frôle il apparait plus sensible qu'un clitoris.

    Le principe féminin est cruel parce qu'il est sentimental. C'est d'ailleurs parfaitement réversible, comme toute morale. c'est parce qu'il est sentimental qu'il doit être cruel;


    Moi je dis que c'est parce qu'il est bon et mauvais qu'il est mauvais. Comprenne qui peut.


    Il n'y a pas de morale qui tienne, il y a le mal à combattre qui n'est pas la vérité. C'est un long combat de toute une vie dont on ne sait qu'au dernier moment si on l'a gagné. Pas un défi de pédé autrement dit.  Pour les autres il leur sera pardonné d'avoir été aveugles et sourds, puisqu'ils l'auront payé de l'enfer sur la terre et seront sans doute tout-à-fait heureux de mourir.


    Dieu ou César, la pitié ou l'argent, l'éternité ou la politique, l'Apocalypse ou la mort, celui qui n'est pas avec moi est contre moi et je vomirai les tièdes. Ça se défend, comme dit l'autre.

    Si on peut défendre les paroles d'un homme aussi invisible que Jésus, il reste alors beaucoup d'espoir, et ça vaut bien la charité concédée par l'esprit de sacrifice que me coûte cette putain de gymnastique littéraire.